Ces arrestations sont intervenues durant les quatre derniers jours ont été effectuées par les forces de sûreté et la garde nationale, en collaboration avec l’armée, précise le ministère de l’intérieur.
Les personnes arrêtées sont accusées d’actes criminels, d’avoir semé la panique parmi les citoyens, de pillage, de cambriolage, d’agression contre des personnes et de possession et de trafic de drogue.
Selon le ministère de l’Intérieur, du 1er au 17 février, 1.729 personnes soupçonnées d’avoir commis des actes criminels ont été arrêtées par les forces de l’ordre, relevant de la direction générale de la sécurité nationale.
Les agents de la garde nationale maritime à Sfax ont également réussi, dans la nuit du 16 et 17 février, à empêcher une opération d’émigration clandestine à partir des côtes de Sidi Youssef aux îles Kerkennah.
Lors de cette opération vingt-deux personnes ont été arrêtées et traduites devant la justice.
Pendant ce temps, en Fance, le gouvernement préfère se concentrer sur la chasse aux Tunisiens en organisant des raffles "dans la gare et à ses abords, deux jours durant", selon le texte de la note, sont ceux qui ont afflué sur l’île de Lampedusa en Italie, provoquant un débordement des capacités d’accueil des autorités italiennes.
Le président français Nicolas Sarkozy a exclu d’accueillir en France des Tunisiens sans visa et le ministre français de l’Intérieur, Brice Hortefeux, a dit craindre devant des responsables de la majorité que de "nombreux prisonniers tunisiens" en fuite ne se dissimulent parmi ces migrants.
L'avenir de la famille Trabelsi n'est pas prêt d'être inquiété par la politique conduite en France envers ses amis dictateurs.
Source : kapitalis.com