Cette nouvelle, qui n'en n'est pas une aux USA, vous surprend ? Rien d'étonnant à ce que les médias français se taisent sur ce qui se déroule depuis trois semaines en Amérique, les fonds américains sont aussi actionnaires des médias français !
Face à la dette, une révolution mondiale s'organise... sans la France !
La France, fidèle à son monarque, bien trop nombriliste et préoccupée par les futures élections présidentielles qui n'auront plus aucun sens d'ici quelques semaines, se voile la face et refuse d'admettre l'inévitable : le capitalisme s'effondre !
Une politique contraire à la notion de la liberté conduit irrémédiablement à la révolution !
Vous me prenez certainement pour un vieux fou sénile et bien observez attentivement les dernières mesures du gouvernement qui sont aussi ridicules qu'injustes et qui démontrent dans quelle panique se trouve l'Élysée !
Quelle proposition sensée nous propose notre monarque ? Aucune, simplement la fuite !
Alors que notre pays va subir une de ses plus grande crise économique, Nicolas Sarközy bat sa campagne électorale... en Arménie, se permettant au passage de proférer des menaces envers les turcs !
Observez aussi bien attentivement les images qui suivent, elles ne sortent pas des studios hollywoodiens... ça se passe dans ce qui était la première puissance du monde. Des rassemblements ont eu lieu à Tampa, Trenton, Jersey city, Philadelphie, Norfolk, Chicago, Saint Louis, Houston, San Antonio, Austin, Nashville, Portland, Seattle, Los Angeles, Dallas, San Francisco, Denver, Boston y compris à Washington.
La classe moyenne américaine, des enfants et des retraités se lèvent et se font menotter par la police comme de vulgaires voyous sous le regard dédaigneux des banksters qui sabrent le champagne.
Brooklyn Bridge, conté de New York
Washington, District of Columbia
Los Angeles, état de Californie
Dallas, état du Texas
San Francisco, état de Californie
Portland, état de l'Oregon
Austin, état du Texas
Denver, état du Colorado
San Diego, état de Californie
San Antonio, état du Texas
Boston, état du Massachusetts
Après le cinéaste Michael Moore puis l'actrice Susan Sarandon, c'est maintenant le réalisateur Alex Jones qui a rejoint la révolte et relate sans relâche chaque instant de ce qui a commencé comme le #OccupyWallStreet pour se muer en #OccupyTheFed. Depuis sa station de radio mais aussi sur son site infowars.com, Alex Jones soutient le combat des indignés des États-Désunis.
A la question posée par la BBC : "Si nos politiciens restent sur leurs positions, que va-t-il se passer ?" Robert Shapiro, conseiller au FMI, répond :
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Olivier Delamarche, associé et gérant de fortune de Platinium Gestion nous donne son point de vue très réaliste sur la véritable température de notre système financier. Son franc-parler peut certainement vous choquer, cependant toutes ses prévisions se révèlent exactes, bien loin des mensonges des banquiers et des politichiens qui eux ont opté pour la politique de l'autruche. Un réalisme qui fait froid dans le dos quand on prend conscience de l'incompétence et de la supercherie qui disqualifient tous ces partisans du capitalisme.
La France n'aurait pas les moyens |
Selon Michel Dominicé, gérant d’un hedge fund de premier plan à Genève qui s'est confié au micro d'un journaliste de la Radio Suisse Romande, celui-ci déclare que Dexia est le premier domino mettant en grand danger les banques françaises.
Elles pourraient se retrouver sans soutien de l’État déjà surendetté par la crise des dettes souveraines :
« Les banques françaises sont particulièrement fragiles [...] On peut craindre que cela dégénère de ce côté là [...] Avec des effets dominos graves, la France est déjà très endettée, elle est allée au secours de la Grèce en dépensant de l'argent public et si elle continue avec ses banques, je ne sais pas jusqu'à quel point la France peut s'endetter ».
En conséquence, notre monarque devrait annoncer le 20 novembre prochain son projet de création d'un Fonds stratégique d'intervention. L'idée consiste à créer une sorte de fonds souverain à la française, pour mieux protéger les groupes des turbulences du capitalisme financier. Mais dans la pratique, une tout autre réforme se dessine : l'Elysée envisage, sans passer par la loi, d'œuvrer à un quasi-démembrement de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) pour créer un fonds à la disposition de l'exécutif. Paradoxe : la CDC a précisément été créée en 1816 pour éviter ce type de dérives napoléoniennes dans la gestion des fonds publics.
Sources : #OccupyTheFED, Gold-Up, YouTube et la participation de Dany