Christiane Ropers, une morvandelle de 61 ans, en sera quitte pour une grosse frayeur...
Cette dame, sujette à des problèmes d’estomac, s’est fait opérer au début du mois. Après des complications, elle n’est rentrée chez elle, à Corancy (Nièvre), qu’au début du week-end. Avec un estomac "réduit des deux tiers", elle ne peut se nourrir que d’aliments semi-liquides. Christiane décide alors d'ouvrir une brique de soupe Liebig aux sept légumes pour son dîner de samedi soir et n'en utilise que la moitié : « Samedi soir, j’ai pris une soupe en brique... D’habitude, je la fais moi-même. Mais là, j’ai été prise par le temps. Mon ami n’en voulait pas. J’ai juste coupé le coin et je me suis versé un bol ». Le lendemain soir, lorsqu'elle recommence l'opération, elle sent quelque chose de compact, secoue et... « J’ai renversé et j’ai vu sortir deux pattes et une queue ! ». En découpant la brique, elle découvre alors une souris entière à l'intérieur.
Une soupe qui est restée sur l'estomac déjà atrophié de Christiane, qui a échappé de peu au retour immédiat à la case hôpital .
« Je ne suis pas prête d’en remanger... Que ce soit cette marque ou une autre. J’aurais trop peur de revoir ces deux pattes et cette queue. Je ne suis pas du genre hystérique. Mais ça m’a secouée. Je n’ai pas pu m’alimenter pendant plus de vingt-quatre heures [...] J'y ai pensé toute la nuit. Comme je viens d'être opérée, je me suis dit : pourvu que je n'aie rien attrapé avec cette bestiole qui doit être pleine de germes ! ».
Le velouté de souris aux sept légumes par Liebig
Le représentant du fabriquant installé au Pontet dans le Vaucluse, dit ne pas comprendre cette affaire et ne précise pas s'il envisage ou non de faire payer le "supplément" à Christiane.
Cette mésaventure n'est pas sans nous rappeler celle qui m'est arrivée personnellement et qui se trouve être à l'origine même de ce beulogue.
ON A TENTÉ DE FAIRE TAIRE LE
PAPY MOUZEOT À TOUT JAMAIS
Source : le jdc.fr