Putain 2 ans !

Même les plus cons
ont leur jour de gloire

Putain 2 ans ! 730 jours et autant de papyrodies. Le cap du millier d'articles est dépassé depuis belle lurette et quand je réalise que tout ça est arrivé par accident... Quand je pense à toutes ces rencontres effectuées en 2 ans, à tous ces échanges et ces amitiés qui se sont liées à mesure du temps. En fin de compte je n'ai n'ai aucun regret et je me dis que j'ai bien fait de me péter une guibole (plus exactement le genou) en décembre 2010.

Les moments les plus magiques sont certainement toutes ces rencontres effectuées au-delà du blog en lui-même, lorsque j'ai été voir Adam dans son igloo, puis Paf qui est venue paffer sa rage à l'hospice et puis ce couple attendrissant venu de la Charente-Maritime, La Baronne et son Pouronchon de mari. Grâce à ces merveilleux moments passés en leur compagnie je me dis quelque fois que la vie vaut vraiment la peine d'être vécue et que ça serait bien que ça continue ainsi. Allez savoir... Qui sait où on sera demain ou bien après le 21 décembre ?

Ces deux années appartiennent déjà au passé, rangées dans mes meilleurs souvenirs, quant au moment présent, il est si éphémère... Aujourd'hui il m'appartient d'en faire ce que je veux. Alors je partage cet instant de bon cœur avec vous tous, sans moquerie ni colère, simplement en paix. L'avenir est si incertain qu'il est difficilement possible de faire des projets en toute sérénité et c'est ce qui donne toute son importance au moment présent.

Vivre comme si le monde allait s'arrêter demain, ne rien faire par habitude, profiter de chaque instants du moment présent. Facile à dire, hein ?

Et pourquoi pas ?

Finalement ce n'est pas plus con que d'espérer gagner au Loto, d'attendre une hypothétique promotion professionnelle ou bien de rêver à une augmentation de nos retraites.

Le plus important dans tout ça, c'est justement ce qui n'a pas de prix... Ça s'appelle l'AMITIÉ.

C'est donc en toute amitié que je vous laisse pour l'instant... ben ouais, comme le monde il pourrait s'arrêter demain, je n'ai plus un instant à perdre pour aller cambrioler la banque de mon quartier !

Bien amicalement,
Le Papy Mouzeot