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  • : Le blog satirique du Papy Mouzeot
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Erick Bernard

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13 février 2011 7 13 /02 /février /2011 03:30

http://www.rue89.com/files/u2077/20080620_milicienne_guerre_civile_espagnole.jpg

Un demi-siècle
de bébés volés
en Espagne !


ATTENTION, ÂMES SENSIBLES S'ABSTENIR !

J'ai décidé de publier ce billet suite au reportage que j'ai pu découvrir aujourd'hui dans le magazine TV "l'Effet Papyllon" diffusé en clair sur Canal +. Le Papy en est presque traumatisé par ce qu'il a pu voir et dont il ignorait l'existence jusqu'à ce jour. Pour ceusse qui étaient autant ignorant que moi sur ce sujet, vous allez découvrir l'insupportable qui s'est produit chez nos "voisins" espagnols durant cinquante ans, entre 1940 et 1990. C’est un des grands tabous de l’histoire espagnole, un des épisodes honteux de la période franquiste. Pendant longtemps, on a appelé ces enfants "les bébés perdus", on parle maintenant de 300 000 bébés volés. Après la guerre civile, des dizaines de milliers d’enfants ont été soutraits à leur famille républicaine, pour être confiés ou vendus à d’autres familles, proches du régime de Franco. Le dossier avait été soulevé par le juge Garzon avant qu’il ne soit suspendu. Le Papy a donc entrepris quelques recherches qui ne ce sont pas avérées faciles dès le départ, pour exemple voici le type de résultats que j'obtenais dès le début de mes recherches :

http://img4.hostingpics.net/pics/947145search.png

Mais il en faut beaucoup plus pour décourager un vieux renard tel que le Papy ! Je ne suis peut-être pas un expert en informatique mais je suis tenace. Voici le fruit de mes recherches que je tenais à partager avec vous.

 

Sous Franco, des milliers de nourrissons ont été enlevés à leur famille républicaine dans le cadre de la lutte contre les «rouges». Selon le juge Garzón, cette politique a donné naissance à une mafia qui opérait encore dans les années 90...


Le témoignage saisissant de Belen

Longtemps, Belen a cru l’histoire que lui avaient racontée ses parents : elle était née en 1973 à la maternité Santa-Cristina, sur l’avenue O’Donnell, à Madrid, un peu par hasard. Son père et sa mère habitaient alors à Paris, ils passaient leurs étés dans la capitale espagnole où ils reviendront s’installer, bien plus tard. C’était son histoire, simple. Et puis, il y eut ce jour où, dit-elle, «le monde s’est écroulé».

C’était en 1995. Elle demande alors le renouvellement de sa carte d’identité. La fonctionnaire la lui refuse, «invoquant un vice de forme». Belen ne comprend pas. Elle parle à sa sœur, de dix-huit ans son aînée. Celle-ci lui répond :«Il faut que je te voie. Papa et maman ne doivent rien savoir.» Et elle l’emmène consulter le registre d’état civil. Là, «j’ai appris que j’étais une enfant adoptée».

Belen en tremble encore. «Sur le coup, ce fut un cataclysme. Puis je me suis souvenue de doutes anciens. C’était comme si je l’avais toujours su. Ma mère m’avait eue à 45 ans, je ne lui ressemblais en rien, et quand je l’interrogeais sur ses douleurs de l’accouchement, elle restait très évasive.» Belen questionne ses parents. Ils lui disent que sa mère biologique était «en bonne santé» et qu’elle avait dû l’abandonner par «souci financier». Et ils coupent court...

 

En Espagne, c'est une plainte qui pourrait faire du bruit. De 1940 à 1990, des milliers d'enfants ont été enlevés et vendus. Un vrai commerce démarré sous Franco. On les appelle les bébés volés. Aujourd'hui, les victimes s'organisent pour réclamer justice.Témoignages et explications....

 

Le rôle essentiel des religieux

Mais Belen, elle, ne s’arrête pas là. «Je voulais regarder ma vraie mère dans les yeux, connaître mes éventuels frères et sœurs.» Elle aura un second choc : en 2009, les médias espagnols commencent à parler des "bébés volés du franquisme". L’affaire vient d’être mise sur la place publique par le juge Baltasar Garzón. Le magistrat andalou, célèbre pour avoir poursuivi les tortionnaires de la junte argentine et pour être à l’origine de l’arrestation de Pinochet, a lancé une vaste enquête sur les crimes commis sous la dictature franquiste qui a sévi de la fin de la guerre civile en 1939 à la mort du caudillo, en 1975.

 

Brisant le "pacte du silence" sur lequel s’est bâtie la transition démocratique, le juge Garzón accuse le régime franquiste de "crimes contre l’humanité" et d’une "volonté d’extermination" des républicains, les perdants, les rojos, les "rouges". Dans son dossier d’instruction, il y a des "disparus", mais aussi des enlèvements de nourrissons - une histoire que les Espagnols croyaient être l’apanage de leurs cousins sud-américains. Pire, ils découvrent que les rapts, lancés par les franquistes pour des motifs idéologiques, sont devenus le socle d’une petite industrie occulte qui s’est développée jusque dans les années 1990.

 

http://www.ub.edu/dphc/img/_Vinyes.jpgS’appuyant sur les recherches menées par l’historien Ricard Vinyes, spécialiste des geôles franquistes, le juge Garzón décrit d’abord le vol massif de bébés par les franquistes. Ceux-ci répondaient à l’injonction du psychiatre Vallejo Nagera, favori du caudillo : «Stopper le virus communiste en extirpant les nouveau-nés de leurs familles républicaines.» Fort d’une loi de 1939 confiant à l’Etat les enfants nés sous X, le régime fait main basse, dans les maternités et les prisons, sur les enfants nés d’opposants assassinés, exilés, ou de mères détenues. Les bébés sont placés dans des familles acquises à la cause. Au passage, des intermédiaires se sucrent.

 

Belen est interloquée . Elle est née et a été adoptée deux ans avant la mort de Franco. «Je naviguais sur Internet comme une folle pour tout savoir sur ce scandale.» Elle harcèle son père adoptif sur les conditions de son adoption. Il finit par avouer qu’il a déboursé 300 000 pesetas. Une fortune pour l’époque, l’équivalent d’un petit appartement. La transaction aurait été assurée par Sor Maria, une sœur des Filles de la charité qui est la cible de dizaines d’accusations dans ce scandale. Celle-ci nie en bloc. Pourtant, l’enquête du juge Garzón montre que le trafic de bébés s’appuyait sur des réseaux impliquant des gynécologues, des infirmiers, des sages-femmes, des chauffeurs de taxi, des avocats, et des gens d’église : mères supérieures et prêtres. «Leur rôle était essentiel, estime le sociologue González de Tena. Ces religieux à la solde du régime national catholique inspiraient crainte et respect, et offraient aux enlèvements un paravent caritatif.» Selon lui, le trafic a continué bien après la fin du franquisme. Le juge Garzón estime que le nombre total d’enfants enlevés entre les années 40 et 90 oscillerait entre 136 062 et 152 237. Politique à l’origine, l’enlèvement de nourrissons aurait donné lieu à un négoce mafieux.

 

Belen est bouleversée : «Je me suis rendu compte que des centaines de gens étaient dans mon cas. Cela m’a réconfortée : avant, j’étais persuadée que ma mère biologique m’avait rejetée. Maintenant, je suis presque sûre qu’elle a été trompée, qu’on lui a dit que son enfant était morte-née.»

 

Le reportage réalisé par le magazine "effet papillon" © Canal + 2011 

Un véritable trafic de bébés, volés à des familles modestes et remis ou vendus à des parents ne parvenant pas à avoir d'enfants, a existé pendant la dictature franquiste avec la complicité des médecins et des religieux travaillant dans certaines maternités. Le parquet général de l'État espagnol a refusé d'ouvrir une enquête au niveau national sur les enfants volés pendant la dictature franquiste.

 

Garzón suspendu pour avoir enfreint la loi d’amnistie

 http://img4.hostingpics.net/pics/317573MarSoriano.jpg«Rien que de penser à ces trafics, j’ai honte de vivre dans ce pays», explose Mar Soriano. A 45 ans, cette ingénieure madrilène est la tête de proue d’un collectif qui sort tout juste de l’anonymat, la Plateforme des enfants volés. Début janvier 2011, ils étaient quelques dizaines à lancer des ballons dans le ciel de la Puerta del Sol. Depuis, les émissions télé sur le collectif se multiplient. Sur sa page Facebook, cinq cents familles ont rédigé des plaintes, des centaines d’autres s’enquièrent des démarches à suivre pour pister un parent disparu, un frère, une sœur, une fille. Si Mar Soriano a lancé ce mouvement, c’est que sa sœur a été une des victimes de l’«ogre» franquiste, comme Belen. Après des années d’enquête, elle a réussi à reconstituer son drame. «Ma mère accouche le 3 janvier 1964 à Madrid, dans la clinique du Generalíssimo Franco, rebaptisée O’Donnell. Ma sœur Beatriz naît en parfaite santé. Le lendemain, des infirmiers la placent dans une couveuse, parlant d’une "procédure normale". Mon père accourt, mais il n’est pas autorisé à voir la petite. Le 7 janvier, ma mère rentre à la maison sans Beatriz : on lui a dit qu’elle a été infectée par un nouveau-né en couveuse. Le 8, un médecin lâche sèchement à mes parents :  «Elle est morte. On l’a enterrée dans la fosse commune. Nous nous occupons de tout." Ils ne l’ont jamais revue, bien sûr.»

 

Mar hésite, puis poursuit son récit : «Un an plus tard, en 1965, ma mère est sur le point d’accoucher. Dans la même clinique. Une nuit entière, elle perd son sang, elle risque de mourir, le personnel sanitaire ne fait rien. Soudain, arrive une aristocrate très influente chez qui ma mère faisait des ménages. Elle s’approche du médecin-chef, lui balance une gifle fracassante et hurle : "Non, pas cette fois-ci, je ne l’accepterai pas!"» Mar éclate en sanglots. «Cette petite fille qui allait naître, et qu’on allait voler, c’était moi.» En 2002, elle entame des recherches et découvre, aux archives de Madrid, l’acte de décès qui indique que sa sœur est morte d’une «otite» comme huit autres enfants de la maternité, le même jour. «C’est médicalement impossible. Ces huit enfants, c’était une livraison de "cadeaux", j’en suis sûre, en pleine fête des rois !» Pedro Soto, 47 ans, un ami de Mar, cherche lui aussi une sœur, volée en 1979. «Le médecin qui l’avait placée en couveuse assurait qu’elle était née sans poumon. Pourtant, elle est supposée être morte au bout de dix heures. Tant de temps sans poumons, ça ne tient pas debout.»

 

Dénoncer ? Oui, mais comment ? Mar et ses amis ont tout tenté : plaintes individuelles et collectives, tribunaux pénaux et administratifs. Toutes les requêtes sont déboutées. Quant au juge Garzón, il a été suspendu de ses fonctions, mis hors jeu au printemps 2010 dans l’attente d’un procès intenté contre lui par des personnalités diverses qui l’accusent d’avoir enfreint la loi d’amnistie du franquisme votée en 1977. Résultat : la puissante Audience nationale (la principale institution judiciaire espagnole qui juge les délits les plus graves), à Madrid, s’est débarrassée du lourd dossier des crimes franquistes en les transférant à vingt-sept tribunaux communs, dans tout le pays, où les magistrats se lavent les mains des bébés volés. L’avocat des familles de victimes, Fernando Megan, confie : «C’est kafkaïen. Des milliers de bébés ont été volés depuis les années 40 dans des dizaines de cliniques du pays, et les juges disent ne pas être compétents ! A ce jour, aucune plainte n’a été prise en compte ; elles sont toutes en attente, ou classées.» Mar renchérit : «A cause de la loi d’amnistie sur les crimes du franquisme, toutes les affaires de bébés volés et même celles commises après la dictature, restent impunies. Un procureur de l’Audience nationale m’a dit :  «Vous devriez oublier tout cela.»

 

Des trafiquants pétris d’idéologie fascisante

Antena 3 a pourtant diffusé en novembre et décembre 2010 un documentaire en six volets, l’Usine à bébés qui présente les cas de mères ayant été dépossédées de leurs enfants dans des cliniques, surtout dans les années 80. Mais elle s’est bien gardée de souffler mot de la racine franquiste du phénomène. Le docu parle seulement d’un trafic mafieux, bien organisé, qui semble être né ex nihilo. «Or, il n’y a rien de plus faux, dit Pedro Soto. Quand ils ont volé ma sœur, en 1979, ma mère avait 33 ans, la santé. Mais elle venait d’Andalousie rurale, sans éducation, incapable de contester la parole des médecins. Elle était une proie parfaite pour un succulent business. C’est vrai qu’au fil des ans, le facteur idéologique a perdu de sa force. Mais les trafiquants sont les mêmes, pétris d’idéologie fascisante. Il y a une évidente continuité.»

"La fábrica de bebés"

 

 

Belen a 37 ans, un fils, un mari, une vie familiale tranquille, un bon job dans le tourisme. «Mais j’ai un malaise au fond de moi. Rien ni personne ne peut me l’enlever tant que je n’ai pas retrouvé ma mère.» Alors elle cherche. Elle garde l’anonymat, elle ne veut pas que ses parents adoptifs soient au courant de sa quête. «Depuis que j’ai découvert mon adoption, j’ai une relation tendue avec eux. Ils m’ont toujours bien traitée, et je leur en suis reconnaissante. Mais ils n’acceptent pas que je recherche mes origines. Je n’ai toujours pas osé leur demander pourquoi ils m’ont menti et dissimulé mon adoption, dit-elle. Je vais bientôt prendre un avocat, et avec un ordre judiciaire, j’obtiendrai l’accès aux registres de la maternité Santa-Cristina. C’est la seule façon de connaître l’identité de ma mère.» Cela lui coûte 3 000 euros, une somme énorme pour elle. «J’ai peur de connaître ma mère. C’est peut-être une égoïste, ou quelqu’un qui ne voudra pas me recevoir. Mais, tant pis, je prends le risque. C’est un besoin impérieux.»

 

L'Espagne n'enquêtera pas sur les bébés volés du Franquisme

http://anadir.es/wp-content/uploads/2011/01/FISCALIA.jpgLe parquet général a refusé d'entamer une enquête au niveau national et demande à chaque famille de porter plainte auprès du tribunal régional où a eu lieu le délit présumé, a indiqué un porte-parole du parquet.
L'association nationale des victimes d'adoptions illégales, Anadir, avait déposé plainte jeudi auprès du Procureur général de l'État, Candido Conde-Pumpido, pour demander l'ouverture d'une enquête sur le sort des enfants volés. Le parquet général justifie cette décision sous prétexte que les responsables présumés de ces vols ne faisaient pas partie d'un réseau unique, mais opéraient depuis plusieurs points du territoire espagnol. Selon le parquet, les enquêtes sur ces enfants ne sont pas prévues par la loi sur la mémoire historique, votée en 2007 et visant à réhabiliter les victimes de la guerre civile (1936-1939) et de la dictature. Pourtant la réalité est toute autre car si l'on retrouve de nombreux médecins impliqués dans ce scandale, c'est surtout le surpuissant lobby religieux espagnol qui serait éclaboussé par ces crimes odieux. En tout état de cause, l’église catholique, pilier du franquisme, est très largement impliquée.

 

Le franquisme n'est pas mort

La plainte déposée par l’association Anadir était soutenue par l’Association pour la récupération de la mémoire historique (ARMH), qui réclame des enquêtes sur les disparus du franquisme mais ces années noires jouissent encore d’un important tabou au titre de la réunification nationale et du Pacte du silence en vertu duquel, les franquistes acceptaient la démocratisation en échange de l’oubli du passé. 

Difficile de savoir combien d’enfants sont concernés car la plupart des preuves ont été effacées, les actes de naissance ont été falsifiés ou brûlés. Mais la marche vers la vérité est initiée.

 

 

Sources : libération.fr, Cyberpresse.ca, youtube.com

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commentaires

W
<br /> <br /> Bonjour. Jusqu'à ce jour, je n'avais jamais entendu parler des enfants volés du franquisme et de ces événements lamentables. J'exprime ma solidarité envers<br /> tous ceux qui en ont souffert, en souffrent aujourd'hui et ceux qui recherchent la vérité. Et surtout qu'on ne me parle pas de prescription !<br /> <br /> <br /> <br />
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P
<br /> <br /> Bonjour Wilfrid,<br /> <br /> <br /> Merci de vous êtes prononcé sur un des crimes les plus odieux depuis le franquisme.<br /> <br /> <br /> Effectivement ces faits ignobles sont un sujet tabou dont seule la communauté espagnole gardait tristement le secret, une véritable omerta couvrait ces crimes. Il aura fallu attendre que cette<br /> affaire soit portée par l'association Anadir et l'éviction du juge Garzó pour qu'Antena 3 s'empare de ce dossier et commence le diffuse en décembre dernier.<br /> <br /> <br /> Cette omerta est notamment devenue légale depuis la loi du Pacte du silence votée en 2007.<br /> <br /> <br /> Les franquistes ont encore beaucoup d'influence dans les milieux décisionnaires ce qui ne facilite en rien les démarches de l'association Anadir.<br /> <br /> <br /> Vous trouverez un complément à cet article ici : Retour sur une période qui fait la honte de<br /> l'Espagne...<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Amicalement,<br /> Le Papy<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
C
<br /> <br /> C'EST AHURISSANT QU'IL Y EST PRESCRIPTION A CE GENRE DE CRIME! <br /> <br /> <br /> <br />
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P
<br /> <br /> En fait tu peux entendre dans le reportage que l'association Anadir avait réussi à contourner le problème de la prescription mais la justice espagnole les a coincé sur un tout autre aspect :<br /> <br /> <br /> Le parquet général justifie cette décision sous prétexte que les responsables présumés de ces vols ne faisaient pas partie d'un réseau unique, mais opéraient depuis plusieurs points du territoire<br /> espagnol. Selon le parquet, les enquêtes sur ces enfants ne sont pas prévues par la loi sur la mémoire historique, votée en 2007 et visant à réhabiliter les victimes de la guerre<br /> civile (1936-1939) et de la dictature.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Si ce scandale se diffuse largement sur la toile, ce que je souhaite sincèrement, la justice espagnole ne pourra pas lutter contre l'opinion public mondial.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Amitiés,<br /> <br /> <br /> Le Papy<br /> <br /> <br /> <br />
T
<br /> <br /> Le franquisme n'est pas mort.<br /> <br /> <br /> Le gouvernement de Zapatero l'entretient par ses silences assourdissants<br /> <br /> <br /> <br />
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P
<br /> <br /> Visiblement ce sujet, posté il y a tout juste 5 heures, interpelle et pas qu'en France ! J'ai pu constaté dans mes stats que ce billet avait été traduit en espagnol une vingtaine de fois, soit 5%<br /> des visites totales journalières sur ce modeste beulogue. J'en conclus peut-être hâtivement qu'il y a effectivement une chappe de silence sur ce sujet dramatique... L'Espagne ne serait-elle donc<br /> pas sortie de la dictature ?<br /> <br /> <br /> <br />

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