Parmi la pléiade de légendes du rock qui ont participé au concert 12.12.12The Concert for Sandy Relief en faveur des victimes de l'ouragan Sandy organisé au Madison Square Garden de New York, Roger Waters, jeune homme de 69 ans, fondateur et ex-leader du groupe Pink Floyd, s'est produit sur scène en compagnie d'Eddie Veder pour interpréter Confortably Numb (extrait du chef d'œuvre musical The Wall).
Une semaine après avoir confirmé son boycott d'Israël lors de sa prochaine tournée internationale intitulée "The Wall", pour marquer son opposition dans le conflit israélopalestinien (lire son interview accordée à Benjamin Locoge pour Paris Match) Roger Waters a repris sa basse légendaire et provoqué des frissons aux quelques 13 000 personnes venues assister au concert qui a été diffusé sur 37 réseaux de télévision aux États-Unis, 200 chaînes de télévision à l'international et seulement sur Sundance Channel, MTV et TV5 Monde en France !
Les profits de ce méga-concert caritatif seront reversés à la fondation Robin Hood Relief Fund, en faveur des victimes de l'ouragan, selon les organisateurs de cet événement.
« C'est probablement la plus grande collection de vieux musiciens anglais se produisant ensemble au Madison Square Garden »
Mike Jagger
Outre la présence de Roger Waters à ce 12.12.12 The Concert for Sandy Relief, d'autres sommités du rock figuraient à l'affiche telles que Paul McCartney (en compagnie de Dave Grohl et Krist Novoselic - Nirvana), les Rolling Stones, The Who, Bruce Springsteen, Eric Clapton, Bon Jovi, Billy Joel, Alicia Keys, Kanye West, Chris Martin, Michael Stipe (R.E.M), Sean Combs et bien d'autres encore que je ne peux vous citer faute d'avoir pu assister à la retransmission de ce méga-concert.
Vous en avez marre de cette actualité glauque et de tous ces déchirements en public de ceux qui ont la prétention de gouverner notre avenir ?
Wayne Lytle et Dave Crognale
Je vous propose donc un voyage dans l'univers magique d'Animusic tout droit sorti de l'imagination débordante de Wayne Lytle.
Issues de la culture des demomakers qui sévissaient sur les bons vieux Amiga et Atari ST durant les années 1980, les prouesses artistiques de Wayne Lytle atteignent le génie. Cet artiste américain va au-delà du mariage des images et de la musique, il est parvenu à sublimer cette fusion passionnelle entre son univers pictural (en images de synthèse) et musical. Le génie de Wayne donne naissance à des instruments virtuels capables de restituer les sons en temps réels. Wayne Lytle a franchit le mur du son et des images fractales, permettant aux aveugles de "voir" la musique grâce aux compétences techniques de l'équipe d'Animusic.
Wayne Lytle aux commandes de son vaisseau spatial
A l'origine cet ancienpianiste et étudiant en informatique a fondé tout seul son entreprise spécialisée dans la "production de films d'animations qui visualisent de la musique MIDI" (Musical Instrument Digital Interface), il y a 30 ans, en 1982 pour être précis, sous le nom initial Visual Music.
Parallèlement à ses expériences personnelles Wayne Lytle s'est dirigé vers des études supérieures d'infographie (Université Cornell) qui furent courronées avec succès en 1988, période à laquelle il a intégré le prestigieux Center Theory Cornell en tant que producteur de visualisation scientifique.
Wayne est très vite récompensé par de nombreux prix de recherche scientifique et d'animation musicale, notamment le prix IBM en 1991.
En 1995 il fera une rencontre déterminante pour la suite de sa carrière, en la personne de son futur associé, David (Dave) Crognale. Ils collaboreront ensemble sur un projet publicitaire pour la société VRex (fabricant de lunettes 3D) intitulé "Concerto in 3D" prémice de "Beyond the Walls".
Dès lors leur collaboration donnera naissance à l'entreprise Animusic (pour musique d'animation) au sein de laquelle ils entameront la production de leur premier album animé en 1998 qui sera produit au format VHS en 1991 sous le titre "Animusic Spécial Edition" (version introuvable de nos jours). Les progrès de la technologie aidant, ce premier album animé sera entièrement remasterisé et remixé en Surround 5.1 puis produit en DVD sous le titre ANIMUSIC 1.
Future Retro extrait de l'album animé ANIMUSIC 1
Aqua Harp extrait de l'album animé ANIMUSIC 1
Drum Machine extrait de l'album animé ANIMUSIC 1
Pipe Dreams extrait de l'album animé ANIMUSIC 1
Harmonic Voltage extrait de l'album animé ANIMUSIC 1
Il aura fallu quatre années de patience pour les innombrables fans avant de découvrir le second opus d'Animusic produit sous le titre logique d'ANIMUSIC 2en 2005. Certainement le plus abouti des deux albums produits à ce jour, cependant le travail colossal fournit par Wayne Lytle et Dave Crognale les a littéralement épuisé.
Starship Groove extrait de l'album animé ANIMUSIC 2
Pogo Sticks extrait de l'album animé ANIMUSIC 2
Resonant Chamber extrait de l'album animé ANIMUSIC 2 (mon préféré)
Cathedral Pictures extrait de l'album animé ANIMUSIC 2
Fiber Bundles extrait de l'album animé ANIMUSIC 2
Heavy Light extrait de l'album animé ANIMUSIC 2
Depuis 2005 l'équipe d'Animusic s'est étoffée, notamment avec la participation du spécialiste du rendu 3D et raytracing, Stephen H. Westin, qui est resté jusqu'en août 2007 puis ce fût l'arrivée de Ben Trumbore (superviseur du développement), de Darrin Horbal (infographiste indépendant) ainsi qu'un renforcement stratégique du service Business et Marketing avec les recrutements de Jeff Garrard (marketing), de Greg Flores (business development) et de Diane Garrard (service clientèle).
Aujourd'hui après avoir réalisé de nombreux projets pour Hewlett Packard, Disney, Texas Instruments ou ATI, Animusic revient sur le lancement de son nouveau projet : ANIMUSIC 3, 7 ans après la sortie de son précédent opus.
Épilogue : C'est pas parce qu'on à rien à dire qu'il faut fermer sa gueule (suite et fin)
Avant d'entamer ce nouveau sujet je souhaite poursuivre un peu ce qui m'a amené à débloguer ces derniers temps et qu'Overblog ne m'a pas permis de vous dire en totalité. En quasiment deux mois d'abscence, j'ai beaucoup de retard à rattrapper et visiblement les limitations techniques de la spirosphère ne sont pas adaptées à la tchatche des sudistes !
Pour clore ma réflexion sur la dépendance aux réseaux sociaux, je crois qu'il est important de garder la tête froide, en très peu de temps internet est devenu une gigantesque nébuleuse commerciale, les sentiments se retrouvent une nouvelle fois à l'arrière plan, tout comme dans la vie réelle. La plupart des blogs que j'ai parcouru traitent de politique, c'est le thème qui rassemble le plus de "communautés" de blogueurs, cependant une grande majorité se contente de pomper bêtement les articles des journalistes professionnels dans l'espoir d'attirer le plus de visiteurs possible afin de devenir des stars de la toile. Quel intérêt ? Internet est un monde virtuel et commercial. Pour certains ça leur permet de fourguer leurs bouquins que les éditeurs n'ont pas retenu, pour d'autres ça permet de lancer leur carrière, bref toutes ces démarches ont un but intéressé lorsqu'il n'est pas carrément lucratif. Où est la sincèrité là-dedans ? Le monde change-t-il en bien pour autant ?
Je pense que nous sommes très nombreux à constater le contraire. Jamais le monde ne s'est retrouvé dans une situation aussi catastrophique, avec autant de guerres, qu'elles soient militaires ou financières. L'homme civilisé est en voie d'extinction laissant place à des monstres avides de pouvoir et d'argent. Les faibles sont considérés comme des criminels et les plus grands malfrats sont adorés comme des dieux, eux-mêmes s'étant soumis à Satan.
A quoi bon lutter dans ces conditions ?
La toile se fait l'écho de nombres d'injustices dénoncées par des lanceurs d'alertes, de révoltes et de colères. Qu'en est-il dans la vraie vie de tous les jours ?
Sommes-nous en mesure de lutter efficacement contre la désinformation ?
Nous avons face à nous des pouvoirs qui maîtrisent TOUT et qui décident pour NOUS TOUS.
En n'agissant pas, ne devenons-nous pas complices de ce système corrompu ?
Autant de questions qui sont restées sans réponses et qui m'ont emmurées dans mon mutisme jusqu'à ce qu'un jour deux amis sincères rencontrés sur ce beulogue, mes chers amis Adam et Paf-la-rage me disent : "Papy, ce n'est pas parce qu'on n'à rien à dire qu'il faut fermer ça gueule !"
La barbe que j'avais rasé pour l'occasion de la visite de la Baronne (je voulais paraître plus jeune juste par coquetterie) a fini par repousser, mes doigts et ma rage aussi...
Ze Papy Mouzeot
L'or du diable
Lors de mon précédent article sur mon escapade dans les gorges de la Jonte et de l'Hérault, je vous ai raconté une petite anecdote sur les environs de Saint-Guilhem-le-Désert, concernant le tournage d'une série télévisée intitulée "L'or du Diable". Et bien je suis parvenu à la retrouver sur Youtube en version intégrale, les six épisodes montés en un seul film d'une durée de 4h50.
Alors espécialement pour tous ceusse qui ont eu le courage et la patience de lire ce très long billet et pour les curieux qui pourraient être intrigués par l'histoire de l'abbé Saunière, voici l'intégrale de "L'or du diable" basée sur des faits réels bien que très romancés dans cette version télévisée. Les initiés sauront faire la part des choses et les profanes pourront découvrir la vie de ce curé pas vraiment comme les autres qui continue d'intriguer des milliers de curieux ainsi que les décors dans lesquels j'évolue dans ma vie réelle.
L'or du diable
Réalisation : Jean-Louis Fournier Avec : Michel Aumont (L’abbé Henri Boudet), Jean-François Balmer (l'abbé Saunière), Arielle Dombasle (Emma Calvé), Laura Favali (Marie Denarnaud) • Année : 1988 • Durée : 4h50
Quelle étrange découverte que je viens de faire sur la twâle au cours de mes dernières pérégrinations culturelles... Je pense que je vais devoir arrêter de jouer à la découverte des "nouveaux talents" sous peine de virer ma cuti. Mettons que les femmes sont l'égal de l'homme en matière de shred, ça je veux bien le concéder bien que la situation reste très ambigüe avec Shorato Nakamura ou le groupe nippon ni mauvais Versailles, mais lorsqu'il s'agit des vocalises, surtout dans l'univers du métal, je suis désolé mais le sexe faible n'est pas équipé pour rivaliser avec des Alice Cooper, Robert Plant, Matthew Bellamy, Steven Styler, Anthony Kiedis, James Hetfield, David Lee Roth ou le très regretté Bon Scott. Et pourtant...
Osang
J'étais loin de m'imaginer que je découvrirais cette sublime créature asiatique, à la voix si douce avant qu'elle ne prenne un micro pour interpréter "Bodies" (Drowing Pool) ou bien "Boombastic" (Shaggy) au cours d'une audition pour l'émission X-Factor Philippines qui s'est déroulée le 1er juillet, passant d'une voix des plus caverneuses qui aurait fait pâlir Bon Scott, à la sensualité jamaïcaine sortie tout droit des cordes vocales d'Orville Richard Burell (le vrai nom de Shaggy). C'est pas la peine de nier, je sens bien que vous êtes intrigués à votre tour et que vous vous demandez dans quel guêpier je vais encore vous attirer. Branchez vos sonotones, vous n'allez pas être déçus, voici Osang...
Surprenant non ?
Et bien à en croire Adam, notre spécialiste en pommes, il m'a révélé un truc et on peut lui faire confiance, c'est un expert en la matière, il a tout de suite découvert la supercherie.
« Hé Papy, ta sublime créature asiatique c'est un mec ! Il s'appelle Jeffrey Soliven.
– Arrêtes tes conneries, tu dis ça paske t'es jaloux, et pis c'est tout !
– Si je te le dis ! Au lieu de mater ses nibards tu ferais bien de t'attarder un peu sur sa gorge. Ta chanteuse, c'est un chanteur keuj te dis. Elle a une pomme d'Adam !
– Muhff ? Une pomme d'Adam ? C'est vrai que sur ce point t'en connais un rayon toi, c'est ton domaine.
– Tu fais comme tu veux Papy, j'te garantis juste que ta philippine elle fait pipi debout, et avec une fille qui a une pomme d'Adam tu risques d'avoir de drôles de pépins.
– Naaan mais qu'est-ce que tu vas t'imaginer, je suis surtout sensible à ses performances vocales. Elle fait des trucs terribles avec sa bouche, tu crois pas ?
– "Il". Il fait des trucs avec sa bouche.
– "Il" ! Mais c'est berk ça !
– Bah alors Papy, on n'est plus mélomane ?
– Heu... un peu moins tout d'un coup, je devrais demander son avis à Fanfan, après tout c'est elle la mélomane.
– Peut-être mais moi les pommes ça me connaît...
– Ben zut alors, si tu m'avais pas préviendu pour la pomme je serais tomber à coup sûr sur la banane et là j'te garantis que...
– Que t'aurais eu l'air d'un vieux con !
– Bon et à part ça, c'est supportable la doudoune au mois d'août en Corrèze ?
– Ça, c'est un coup bas mon vieux !
– Mouais possib', mais toi tu crains plus rien depuis ton opération de la prostate ! Bon sur ce, je vais m'écouter un bon vieux tube de Bowie.
– Pareil...
– Quâ ça pareil ? Tu vas quand même pas me dire que Bowie c'est un homme !
– Pire... il est les deux à la fois.
– Merde ! Comme les escargots ?
– Naan, comme beaucoup d'excentriques du show biz.
– Ok, ça va, j'ai compris, je débranche mon sonotone ! A plus Adam et merci pour le "tuyau" ! ».
Pour la peine je te mets une version très originale de Boombastic de Shaggy, tu ne seras pas venu pour rien...
Petit plongeon dans un univers magique où les artistes jouent avec les ombres, la lumière et des matériaux parfois très surprenant.
La série ci-dessous a été réalisée par l'agence de communication de la station australienne Radio Nova 96.9 pour une campagne publicitaire intitulée "some combinations are juste funny" mettant en scène les animateurs vedettes Merrick Dools et Ricki-Lee de cette station de radio située à Sidney.
Cliquez sur la porte pour découvrir l'origine de l'ombre
En général, on est assez surpris lorsqu'on découvre l'origine des formes et des objets disposés selon la volonté de leur créateur, au gré de la lumière. Cette technique originale repose sur la recherche de la meilleure exposition à une source de lumière, au travers d'une composition de matériaux permettant une projection d'ombres très réalistes.
Parmi tous ces artistes illuminés,Diet Wiegman,un peintre et scuplteur néerlandais de 68 ans qui s'est lancé dans cet art depuis les années 1980. La particularité de Wiegman est qu'il travaille uniquement à partir de matériaux de récupération tels que des déchets produits par notre société de consommation. Une façon assez originale de recycler tous ces déchets.
David de Diet Wiegman (1984)
Shadow Dancing de Diet Wiegman (2008)
Et lorsque Wiegman donne la vie à ses créatures de l'ombre grâce à la cinétique ça devient carrément magique.
Venu d'Azerbaïdjan, Rashad Alakbarov, peint lui aussi sur les murs avec des ombres et de la lumière en ajoutant une touche colorée à ses œuvres.
Né en 1970 à Tanger, Mounir Fatmi, artiste plasticien et videaste marocain, vit entre Paris, Lille et Tanger. Ses œuvres ont été montrées au Migros Museum für Gegenarskunst, Zürich, Museum Kunst Palast, Düsseldorf, Centre Georges Pompidou, Paris, Moderna Museet, Stockholm et au Mori Art Museum de Tokyo. Il a participé à plusieurs biennales dont la 52ème Biennale de Venise, la 8ème Biennale de Sharjah, la 5ème Biennale de Gwangju, la 2ème Biennale de Séville et la 10e Biennale de Lyon.
Galerie
(Cliquez sur les vignettes pour agrandir les photos)
Calvin Broadus plus connu sous le nom du célèbre rappeur SNOOP DOGG, fume des cigarettes vraiment bizarres...
Interdit de séjour en Norvège pour une période de deux ans, depuis qu'il s'était fait arrêtéau mois de juin dernierà l’aéroporten possession de huit grammes de marijuana, le rappeur continue ses pérégrinations autour du globe en quête de spiritualité.
C'est ainsi qu'il a pu débarquer en Jamaïque pour une petite visite des temples rastafaris et c'est là qu'il a fait une rencontre qui a totalement transformé sa vie : « Je suis allé au temple où un grand prêtre m'a demandé mon nom, je lui ai dit "Snoop Dogg". Il m'a regardé droit dans les yeux et m'a dit "Plus maintenant. Vous êtes la lumière, vous êtes le lion". Et là, c'est comme si j'avais commencé à comprendre pourquoi j'étais venu dans ce lieu ».
Cette révélation brutale a complétement chamboulé le neurone du rappeur qui a déclaré : « Je veux enterrer Snoop Dogg et devenir Snoop Lion ». Son séjour l'a aussi convaincu de changer de style musical. Fini le rap, le musicien fera désormais du reggae, un nouveau "challenge" pour lui : « Il arrive un moment où on se dit: "J'ai tout fait, ou presque".C'est comme une renaissance pour moi. Malgré tout le respect que j'ai pour les autres rappeurs, ils ne peuvent pas se comparer à moi.. J'ai gagné tout ce qu'on pouvait gagner dans le rap, on m'appelle "oncle snoop" dans le milieu. Quand vous êtes un oncle, c'est le moment de trouver quelque chose de nouveau. Je veux me sentir à nouveau comme un enfant ».
Le prochain album de SnoopDoggLion ne comportera donc que des morceaux reggae, et s'appellera Reincarnated. Un titre qu'il n'a pas mis longtemps à trouver : « J'ai toujours dit que j'étais la réincarnation de Bob Marley. J'ai l'impression que j'ai toujours été un rastafari. Mon troisième œil était fermé c'est tout, mais il est grand ouvert en ce moment-même ».
On n'ose imaginer la métamorphose de Calvin Broadus s'il avait décidé de passer ses vacances en France et que le destin avait malencontreusement décidé de lui faire croiser la route du Papy Mouzeot... Le rappeur se serait peut-être réincarné en Snoop Coq. On a échappé au pire et lui aussi ! Quoi que...
Avant sa révélation mystique Snoop Dogg c'était ça :
On reste toujours dans l'univers de la musique et de l'Asie, pour nous retrouver cette fois en Corée du Sud avec cette histoire peu ordinaire. Sung-BongChoi,abandonné à l'âge de 3 ans s'est enfuit de son orphelinat dès l'âge de 5 ans pour fuir les coups. Livré à son propre son sort, seul, il a grandit dans la rue tel un clochard. Il a même confié a un journaliste de CNN qu'il avait tenté plusieurs fois de mettre fin à ses jours tellement la vie n'avait aucune signification pour lui : « j'éprouvais de la sérénitude en écoutant de la musique, la musique était ma seule amie quand j'étais seul ».
SDF pendant dix ans il a survécu en vendant des chewing-gums et des boissons énergétiques dans la rue avant de se présenter humblement à 22 ans devant le télé crochet "Corée Got Talent", une version coréenne de l'émission "A la recherche de la Nouvelle Star", où le public et une des membres du jury rient de lui à cause de son langage familier (en argot coréen).
Il avoue humblement "ne pas être un chanteur exceptionnel mais qu'il adore ça".
Je vous laisse juger par vous-même...
Pavaroti peut rester au paradis des vocalistes, sa succession est assurée.Sung-Bongest parvenu jusqu'en finale de l'émission où il termina second.
En 2012,Sung-BongChoi participe à Opera Star, une sorte de "Star Academy" de la musique classique.
La vie si souvent injuste, parfois cruelle, permet toutefois à quelques êtres de lumière d'être touchés par la grâce et de transpercer nos cœurs. Qui parmi vous pourrait rester insensible devant tant de pureté dans cette voix ?
Les voisins vont pas être contents mais c'est la faute aux Cafards !
Suite à la visite des cafards attirés par la mignonne petite Shara Lin et ses prouesses musicales, j'ai poursuivi ma fugue au gré des notes (surtout du son) qui m'inspirent beaucoup de respect envers une profession qui fond comme neige au soleil dans notre beau pays : la métallerie.
Appelez-les comme il vous chante, métalliers, forgerons, ces musiciens possèdent les clés de la virtuosité.
Le "shred", entendez par là le terme utilisé pour désigner une tendance initiée par Eddie Van Halen dans les années 1970 (avec son solo guitare "Eruption", ci-dessous) sublimée depuis les années 80 par le Dieu suédois Yngwie J. Malmsteen.
Parmi les plus grands, beaucoup d'hommes (lire : Fast and Furious - Les "Lucky Luke" de la Gibson) tels que Tiago Della Vega, Michael Angelo Batio, Steve Vai, Joe Satriani, John Petrucci, Buckethead, Synyster Gates (Brian Elwin Haner Jr.), Akira Takasaki et Desiree Bassett, seule femme citée dans cet ancien billet.
Oubli ? Erreur ? Le Papy serait-il misogyne ?
Il est donc temps de réparer cette erreur et de se culturer les essegourdes avec ces divas du métal, anonymes ou non, mais toutes plus impressionnantes les unes que les autres.
Katherine Thomas alias The Great Kat
« Keuya Adam encore ?
Comment ça Fanfan elle va pas être contente ?
Hé bé détrompes-toi ! J'ai même retrouvé une vieille cassette de notre Fanfan nationale en train de gratouiller le manche ! ».
Démarrons en douceur par un petit tour d'horizon...
Ça fait drôle hein les mecs ?
Atta, c'est pas là, j'ai pas fini, ça fait juste que de commencerer...
Que maintenant je vous présente une de mes favorites à moi que j'aime beaucoup : Juliette Valduriez
Ça picotte quand elle s'énerve la demoiselle, n'est-il pas ?
Je subodore une grosse voix venant de Bretagne me disant "ça vaut pas le biniou"...
C'est-y qu'il en revoudrait le salopiaud ?
Juliette Valduriez nous interprète un petit extrait de "Lost in Paradise"...
Elle assure à "Guitar Hero"la miss, vas-y toi essaies de péter son score !
Là où ça commence un peu à se compliquer c'est quand cette demoiselle se prend pour David Gilmour, ça devient très énervant...
Et quand à son talent elle rajoute le son c'est carrément déprimant. Difficile de faire la différence entre l'original et la réplique. Jugez par vous-même...
Que voilà une de mes préférées, c'est Jacqueline Mannering, un jeu de scène inexistant, on dirait presque qu'elle s'ennuit alors qu'elle ferait pâlir tous les shredders de la planète.
Impossible de faire le tour de ces shreddeuses sans citer la plus ravagée de toutes, l'incoutournable Katherine Thomas alias The Great Kat, virtuose du violon, de la guitare et du piano.
Oublions le shred pendant une dizaine de minutes pour suivre une petite rétrospective de riffs avec Kelly Rosenthal. C'est parti pour un petit voyage intersidéral dans l'univers du rock.
Retour dans l'univers du shred avec Therese, ben oui, ça s'invente pas, et que Therese, elle m'énerve vachement beaucoup.
Mais s'il n'y avait que ça ! La suivante s'appelle Sarah Michelle et elle se prend carrément pour le maître Yngwie J. Malmsteen, dans une interprétation de "Far Beyon Sun" !
Si Angus Young avait été une femme il s'appellerait peut-être Orianthi...
Yasmin Hofer alias Yasi, une jeune allemande de 19 ans, partie sur les traces de Steve Vai…
À ce qu'on dit la valeur n'attend pas le nombre des années, c'est ce que nous démontre Taylor alors âgée de 13 ans. Ça énerve hein ? Allez avouez le !
Atta, y'a beaucoup plus pire, comme cette gamine de 8 ans qui, l'air de rien, se permet de nous interpréter "Stratosphère" et laisse pantois un bon nombre de sceptiques. Observez bien ses doigts danser sur le manche et vous constaterez que ce n'est pas du pipeau...
Fous le camp dans ta chambre et vas faire tes devoirs sale mioche !
Retour au pays des mangas où quelques geishas métalleuses ridiculisent carrément Shara Lin, comme par exemple Eita, cette mutante niponne qui nous interpète "Phantom".
Toujours au Japon, je ne pouvais pas faire l'impasse sur Yuki, la bombe atomique du groupe D_Drive qui déferle comme un tsunami dans les charts nippons. Yuki vous propose même un petit cours accéléré de leur tube "Cassis Orange", à déguster on the rocks...
Maintenant on touche à la fin. Pour le dessert je vous ai réservé le must du must du shred "féminin", nous sommes toujours au pays du soleil levant, franchement ça se passe de commentaires, y'a juste à regarder et écouter... Shorato Nakamura !Cette artiste à plusieurs particularités. D'abord celle de reproduire dans sa chambre, sans trucages ni effets spéciaux, ce que beaucoup de shredders réalisent en studio d'enregistrement (il arrive bien trop souvent que certains musiciens jouent en playback sur scène. Si, si, c'est pas des conneries).Ensuite, ben non, on verra plus tard, je pense que le mieux est visionner les prouesses de cette shreddeuse...
Ça déménage hein ? Bon, faut que je vous avoue quelque chose. La particularité de Shorato Nakamura, comme son nom l'indique, bah, c'est comment dire... c'est pas exactement une femme. Ce n'est ni un transsexuel (enfin, pas encore) ni un pur travesti, c'est plutôt un androgyne.
« Keuya encore Adam ? Comme les escargots ?
Naan Adam, c'est pas comme les escargots ! Les gastéropodes sont hermaphrodites, c'est pas pareil !
Comment ça, ça revient au même ?
T'en connais beaucoup des escargots qui jouent aussi bien de la gratte toi ? Bon, alors ! »
Shorato Nakamura est un phénomère vivant, probablement le (la) meilleur(e) shredder(euse) de sa génération.
Pas totalement convaincus ? Alors savourez ça et on en reparle après...
Shorato Nakamura submerge la toile avec ses clips sur Youtube sous le pseudo NIKUMANGUITAR, tous les commentaires qui lui sont adressés sont éloquents et les tous amateurs de shred reconnaissent en lui le meilleur shredder du moment, largement au-dessus de beaucoup de guitaristes professionnels.
Évidemment il faut appécier ces exploits techniques pour adhérer à cet avis, mais si vous êtes encore à lire ces lignes c'est certainement aussi votre cas.
« Oui Adam... Tu râles parce que je vous avais promis Fanfan ?
Laisse-moi simplement le temps de mettre la cassette dans le bazar et tu vas pouvoir t'éclater... »
C'est prêt ! Juste pour nous, voici une bande qui date de quelques années que j'ai dégoté sur notre Fanfan, qui se cachait sous le pseudo Cissie, l'impératrice du métal, prise en flagrant délire sur du Metallica...
Bien qu'aujourd'hui Fanfan se consacre à l'écriture de romans et à la peinture elle n'a pas pour autant raccroché sa guitare. Bah oui Fanfan, t'avais encore oublié de déconnecter ta webcam !
Bon alors les mecs, c'est curieux, on ne vous entend plus là ! Qu'est-ce vous que fouttez ?
Les hommessont belliqueux,c'est bien connu, ils préfèrent s'affronter à grands coups de clés de fa dans la tronche, un peu à l'image de Jani Limatainen (Sonata Artica) et de Syu (Galneyrus) !
Histoire de respecter la parité,on allaitquand mêmepas se quitter sans un clip éducatif du grand maître Yngwie J. Malmsteen en personne... sans blague !
Prêts pour une petite leçon très particulière?
Pour ceusse qui rêvent de devenir à leur tour des agités de la guitare je vous conseille vivement les cours d'Yngwie que vous pouvez trouver gratuitement ici : Guitar Lessons
Juste pour le plaisir, un p'tit dernier pour la route...
Lin Yixin (Shara Lin) artiste multi-tâche mais cette fois dans un autre univers que celui de T.Mor : la musique. Cette charmante petite chinoise âgée de 17 ans est une musicienne surdouée qui devrait combler notre Fanfan nationale et beaucoup d'entre-vous. Médaillée d’or d’un concours international de violon, elle a également décroché la médaille d’argent d’un concours de piano à Taïwan. Elle ne manque pas de talent, ni de grâce et n'est pas dénuée d'humour. Elle est capable de jouer avec trois instruments de musique et parfois l’un en même temps que l’autre : le piano, le violon et la cithare chinoise (guzheng). La voici dans une interprétation très personnelle de Dancing Diva de Jolin Tsai.
La voici 3 ans plus tôt qui interprète l'un des quatres sherzos de Chopin, le N°2 en si bémol, op.31...
La demoiselle n'a pas qu'une corde à son arc, elle chante et joue aussi de la guitare...
Trois jours après le décès de Donna Summer le mondedu disco est à nouveau en deuil
Robin (Hugh) Gibb, le chanteur emblématique des Bee Gees, est mort dans la nuit de dimanche à lundi, à l'âge de 62 ans, des suites d'un cancer du colon et du foie. Un mois tout juste après être sorti du coma dans lequel il avait été plongé pour atténuer ses souffrances, suite à une pneumonie qu'il avait récemment contractée, le chanteur avait été hospitalisé le 14 avril 2012 à l'hopital de Chelsea, près de Londres.
Né le 22 décembre 1949 à l'île de Man, il était le jumeau de Maurice Ernerst Gibb, décédé le 12 janvier 2003 d'une attaque cardiaque suite à une opération pour une occlusion intestinale. Le malheur avait déjà frappé le cadet de la famille Gibb, Andy, qui s'est éteint le 10 mars 1988 victime de ses excès d'alcool et de drogue qui avaient aggravé la myocardite dont il souffrait. Des quatres frères il ne reste plus aujourd'hui que Barry mais aussi une sœur, Lesley, l'aînée de la famille.
Entrés très tôt dans la musique, le trio des frères Gibb s'est formé dans la fin des années 60, tout d'abord sous le nom des Rattlesnakes puis est devenu les Wee Wish Johnnie Hayes and The Bluecats avant d'adopter The Bee Gees en 1962 qu'ils garderont jusqu'en 1972 pour s'appeler définitivement Bee Gees. Ils connurent un succès rapide dès 1967 avec les titres Holiday et Massachusetts suivi de I Started A Joke en 1968. Le début des années 70 marquera leur rupture avec les origines pop et commencera à s'orienter vers les prémices du disco concrétiser par la sortie de l'album Main Course où leur titre You Should Be Dancing fait un carton dans tous les charts américains, canadiens et britanniques.
Mais ce n'est vraiment qu'à partir de 1977 que les Bee Gees seront célèbres en France et dans le monde entier. Leur manager, Robert Stigwood, produit la musique disco du film Saturday Night Fever. Il contacte alors le groupe qui se trouve en France, en pleine session d'enregistrements aux studios du château d'Hérouville.
En mars 1977, Robert Stigwood, manager des Bee Gees, produit la musique disco du film Saturday Night Fever (La Fièvre du samedi soir). Il contacte le groupe, qui est en session d'enregistrements aux studios du château d'Hérouville en France. Les Bee Gees composeront pour cette occasion les titres qui deviendront des tubes planétaires. How Deep Is Your Love, extraite du film, est n° 3 au Royaume-Uni et n° 1 aux États-Unis deux semaines plus tard !
En quelques mois les frères Gibb raflent toutes les récompenses dont le prestigieux Grammy de la meilleure preformance vocale pour un groupe avec How Deep Is Your Love. Le 4 mars 1978, Stayin' Alive se classe 4e au Royaume-Uni et 1er aux États-Unis.
Quelques jours après les Bee Gees sont 1er au hit-parade américain puis au Royaume-Uni avec Saturday Night Fever qui les consacrera N°1 mondial au mois de mai 1978.
Très courtisés dans le domaine du show business ils ont produit et écris pour d'autres artistes comme Barbara Streisand, Diana Ross ou Dolly Parton. Robin Gibb a écrit et produit notamment l'album "Sunrise" du vétéran de la Soul, Jimmy Ruffin. Le total de leurs ventes de disques sur toute leur carrière est estimé à 220 millions, faisant d'eux un des plus grands vendeurs de disques.
Robin Gibb surmontait sa maladie grâce à son dernier rêve. Il a écris et composé sa première œuvre classique avec son fils Robin-John et enregistrée par le prestigieux Royal Philharmonic Orchestra, pour commémorer le 100e anniversaire du naufrage du plus grand paquebot du monde : "The Titanic Requiem"
Robin Gibb y interprètait même la chanson "Don't Cry Alone" et avait récemment déclaré : « La musique n'a pas nécessairement besoin d'être compliquée. Il faut qu'elle fasse écho à l'esprit humain ».
En octobre 2010, Robin Gibb interviewé par le Daily Mail a confirmé que l'histoire des Bee Gees sera racontée dans un film de Steven Spielberg. Robin a déclaré au Daily Mail : « Le film va être réalisé par des acteurs très connus. Ce sera l'histoire de notre vie. Barry et moi seront impliqués dans l'aspect technique [...] J'aimerais que nos enregistrements originaux soient utilisés car il est très difficile de les imiter ».