Le fondateur du site Wikileaks est "libre". Il est accusé d'agressions sexuelles.
La liberté conditionnelle a été accordée en appel à Julian Assange au terme d'une audience de 90 minutes. Le fondateur de Wikileaks était incarcéré depuis une semaine à Londres, à la suite de son interpellation en vertu d'un mandat d'arrêt européen.
La justice britannique avait déjà ordonné sa libération sous caution ce mardi, mais le représentant de la Suède avait fait appel le soir même, l'obligeant ainsi à rester en prison. Lors d'une première comparution le mardi 7 décembre, il avait été placé sous écrou extraditionnel dans l'attente d'un jugement sur une demande de la justice suédoise, qui le recherche pour de présumées agressions sexuelles.
Source : l'express.fr
Quel avenir pour Julian Assange ?
Sujet du jour :
Le manuel du Nouvel Ordre Mondial pour les nuls
par Papy Mouzeot
Salut camarades, c'est Papy Mouzeot !
Heu... mais que je suis couillon, vous le savez déjà sinon vous ne seriez pas là !
Ben tiens justement, en parlant de savoir, y'a un truc qui m'a toujours chiffonné, qu'au début j'y pigeais que dalle étant donné qu'on en parle quasiment jamais dans le poste de télévision et pour cause...
Ce machin dont je ne captais pas grand-chose, paraît que ça s'appelle le Nouvel Ordre Mondial !
Keskeucé keuss bordel de Nouvel Ordre Mondial ?
Définition :
Faut décomposer le bazar pour tenter de comprendre un peu mieux. Nous voici devant une énigme composée de trois mots : nouvel, ordre, mondial, que si on les placent côte à côte on pourra employer le terme de : Trilatéral. Mais ne nous égarons pas, on reviendra là-dessus plus tard...
Nous avons juste ceci pour le moment :
• Nouvel : qui vient de nouveau, ça c'est fastoche, là où ça se complique tout de suite c'est que quand je cherche la définition de nouveau, ça veut dire plein de choses !
- Nouveau : (nom masculin)
Sens 1 : Qui existe depuis peu de temps. Apparu récemment.
Sens 2 : Original, inédit.
Sens 3 : Qui vient à la suite de quelque chose et le remplace.
Ah, je vous l'avais dit que ça se compliquait ! Disons que je vais choisir la 3 au hasard.
Passons au suivant...
• Ordre : aïe ! Là aussi ça se complique mais encore plus : 4 sens pour le mot ordre, que tu te demandes si ceux qui ont inventé la langue française, ils l'ont pas compliquée exprès pour qu'on ne se comprenne pas entre nous et qu'on se foute sur le pif à cause d'un mot qui veut dire plein de choses pas pareilles !
- Ordre : (nom masculin)
Sens 1 : Agencement, disposition d'éléments les uns par rapport aux autres.
Sens 2 : Action, fait de ranger, qualité d'une personne qui possède une bonne organisation.
Sens 3 : Association professionnelle, communauté religieuse.
Sens 4 : Stabilité sociale. Exemple : l'ordre règne
Bon, mettons qu'on fait comme pour celui d'avant, on prend le dernier au hasard.
Passons au suivant, je crains le pire...
• Mondial : (adjectif masculin)
Sens : relatif au monde entier. Se prononce "ouaurde" en anglais (ça fait tout de suite plus savant, hein ?).
Râââh ben dis donc, c'est bien le premier sur lequel je tombe qui veut dire qu'une chose pareille !
Donc cette fois-ci pour changer la donne je vais choisir la réponse 1.
On prend le tout et on le met dans une bouteille à synthétiser, on mélange bien fort, on sert avec 2 glaçons (vous pouvez en mettre 3 si vous voulez mais pas plus, sinon vous allez remonter jusqu'à l'âge de glace) et keske ça va nous donner ?
Tada ! (ça fait cette musique sur le pécé de mon petit-fils)
NOUVEL ORDRE MONDIAL : Qui vient à la suite de quelque chose et le remplace, suivi d'une stabilité sociale relative au monde entier.
J'ai rien inventé, c'est dans le dico ! Alors c'est plus clair pour vous maintenant ?
C'est pas grave, j'ai prit des cassettes vidéo pour ceux du fond qui n'ont rien entendu.
La preuve par la zapette ou explication par l'image :
On va prendre un premier exemple, pas besoin de chercher loin, on en a un sous la main, ça tombe bien (ou mal).
L'empereur Nicolas 1er lui-même, s'exprimant à l'ONU l'année de son accession au trône de France en 2007 :
Un autre exemple pour les malentendants...
Les vœux du despote à ses sujets en 2009 : PERSONNE NE POURRA S'OPPOSER AU NOUVEL ORDRE MONDIAL !
Avec la crise mondiale, on aurait pu croire John Sarko ce serait un peu calmé. Que nenni, il remet ça en présentant ses vœux en 2010 !
Discours pour les français qui étaient absents en 2009...
Saviez-vous que quand une femme porte une robe en cuir...
le coeur de l'homme bat plus rapidement,
sa gorge devient sèche,
ses genoux s'affaiblissent,
ses mains deviennent moites
et il commence à penser de façons irrationnelles.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi ?
C'est parce que ça sent la voiture neuve !
Le bureau de l'Assemblée nationale a refusé mercredi de communiquer au juge antiterroriste Marc Trévidic les documents et enregistrements des auditions réalisées par la mission d'information parlementaire sur l'attentat de Karachi en 2002. En novembre dernier, Charles Millon, l’ancien ministre de la Défense révélait l’existence de versements occultes liés aux ventes d’armes au Pakistan.
L'arrêt des commissions, décidé par Jacques Chirac et versées jusqu'alors auraient pû entraîner l'attentat en représailles.
L'information venue d'une source PS au Palais-Bourbon a été confirmée par la présidence de l'Assemblée.
«Le bureau de l'Assemblée a fait le choix du respect de la parole donnée aux personnes auditionnées», a fait savoir la présidence de l'Assemblée.
«Le bureau s'est placé dans la continuité des précédents. Ainsi, sous la présidence (de l'Assemblée) de Laurent Fabius, la communication au juge Bruguière des procès-verbaux d'auditions de la mission d'information sur le Rwanda avaient été refusées», a aussi indiqué la présidence.
Il était prévu que le bureau de l'Assemblée se prononce ce mercredi sur la demande du juge d'obtenir les enregistrements de travail de la mission d'information parlementaire sur l'attentat de Karachi. Le 1er décembre dernier, le député PCF Jean-Jacques Candelier, membre de la mission, avait annoncé avoir remis les procès-verbaux d'auditions (une cinquantaine de feuillets) au juge antiterroriste Marc Trévidic.
Le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer (UMP), s'est à plusieurs reprises refusé à communiquer au juge les documents de la mission d'information, arguant notamment du principe de la séparation des pouvoirs et de la confidentialité des auditions.
Source : LeParisien.fr
Ce qui suit va vous paraître totalement fantaisiste, irréel voire incroyable...
et bien, vous avez entièrement raison.
Les productions Unilever Best Foods France vous présente
une aventure du Papy Mouzeot dans :
PAPY MOUZEOT À TOUT JAMAIS
Votre écran scintille anormalement, les touches de votre clavier ne répondent plus, votre souris s'est echappée et vous vous demandez ce que vous faites ici...
Ne craignez rien, inutile d'appeler la hotline de Free car...
VOUS VIENDEZ DE PÉNÉTRER
DANS LA 4ème DIMENSION
Tout a débuté un soir de décembre en l'an de grâce 2010 (ouais en fait c'était la semaine dernière) dans un coin reculé de la France profonde (Montpellier quasiment 300 000 habitants). Cette année là, le mercure atteignait des chutes vertigineuses (tu parles, on n'a pas vu un seul flocon à part dans l'avoine), un pauvre vieux, transit de froid (c'est moi) et con de surcroît (ah non, c'est plus moi), certains diront d'ailleurs qu'il s'agissait d'un vieux con (je confirme, c'est pas moi), décide subitement de faire pitance d'une bonne soupe bien chaude pour réchauffer sa maigre carcasse (je maintiens ce que j'ai confirmé précédémment, c'est pas moi : 1,80 m / 80 kg à sec). Il se dirige vers son buffet en Formica (ah vous voyez que c'est pas moi, moi j'ai une Vogica garantie à vie), ouvre le placard et en retire un sachet de 84 grammes d'une préparation de potage déshydraté "Douceur de 9 légumes" (si j'avais été moins con, j'aurais épluché les légumes moi-même). Il décroche ensuite une casserole de son mur lézardé (oh, c'est rien ça, c'est juste la peinture qui commence à s'écailler) la remplit d'eau et s'empressa de la faire bouillir sur sa gazinière de vieux con (je sais mais ça fait un an que j'attends mon 13ème mois pour la changer). Jusqu'à cet instant la vie insignifiante de ce vieux con n'avait rien d'anormal, il survivait dans sa misère comme l'impose la grande loi du capitalisme, avec une retraite aussi maigre que lui, sans assez de ressources pour remplir le réservoir de sa mobylette l'obligeant à rester cloîtré chez lui, loin de toute civilisation, isolé du monde des vivants (m'enfin, ça veut dire quoi tout ça ?). A cet instant la vie insignifiante de ce vieux con bascula dans une autre dimension du continuum spatiotemporel et le transporta irrémédiablement devant une assiette de soupe chaude posée là, à même une table taillée dans du Formica, son cul affalé sur une chaise du même bois (je peux tout expliquer, en fait je sais faire bouillir l'eau, pour le reste c'est ma Louloute qui s'occupe de tout). Il va fermer sa gueule ce vieux con et laisser continuer le narrateur ? (oups !)
Le papy saisit sa cuillère d'un geste précipité, porta une première cuillérée du potage à sa bouche, l'avala et aussitôt son cortex apprécia la douce chaleur qui l'envahissait, trahissant une légère métamorphose de la coloration de son épiderme qui du bleu vira en une couleur rougeâtre semblable au teint d'un vieil alcoolique (je proteste !). Vînt le tour de la deuxième cuillérée, puis une troisième, et une quatrième quand soudain, le vieux con fût pris d'une apparente convulsion, ses yeux s'écarquillèrent laissant place à un jet épais et coloré sorti subitement de sa bouche éclaboussant la "Louloute" au passage. La tension était à son paroxysme. Une goutte de sueur dégoulinait lentement le long de la tempe du papy, le silence lourd et pesant accentuait l'ambiance dramatique de l'atmosphère qui régnait autour de la table en Formica. Le teint du vieux con passa à un rouge vif (salutations aux camarades) puis sa bouche laissa échapper un son familier de son entourage : "Mais keksé keuss bordel, grmmbl ?"
La Louloute interloquée ne trouvait mot à dire face à une situation aussi dramatique.
Farfouillant de sa cuillère ce qui semblait être les restes d'une soupe, le vieux con en retira un intrus et présenta l'objet d'apparence métallique à la Louloute en lui demandant d'un ton accusateur :
"Alors, maintenant t'achète la soupe chez Bonux ? Ou alors ils copient sur eux et il mettent des cadeaux empoisonnés dans leurs sachets ? Hein, kekta à dire ladssu ?" Ponctué d'un "grmmbl !" La Louloute qui cherchait déjà depuis un moment n'avait toujours pas retrouvé ses mots à dire (quelle conne !). Le papy, d'un air victorieux, tenait son trophée entre ses doigts tentant d'identifier le "corps étranger" (coucou Brice !) et lorsque l'objet du délit s'approcha de son champ de vision, à environ 10 centimètres de ses lorgnons, le vieux con sursauta une fois de plus laissant échappé un : "Oh Pute Borgne, r'garde-moi skecé keuss bordel qu'on dirait une lame !"
Une lame ? Mais que pouvait bien faire une lame dans le potage du papy, à moins que... Mais oui, c'était évident, tout était clair : "Oh Nandidjûûûûûû ! On a tenté de me trancher la gorge par le dedans ! Rôgntûdjûûû de grmmbl ! Ah, c'est comme ça ! Ah, ils veulent la guerre ! Ah, on veut m'empêcher d'ouvrir ma gueule ! Houla ksa va pas en rester là ! Suivi d'un : "Ah, Nandidjûûûûûû ! et ponctué d'un "...grmmbl !"
Mais franchement papy, tu t'es vu même quand t'as pas bu ? Et qui aurait intêret à te faire fermer ta grande gueule ? Tu n'as rien à dire. Tout le monde s'en fout de toi, tu n'es rien, tu es misérable et tu t'imagine que parce que tu vote à gauche le capitalisme cherche à t'assassiner ? (il commence à me le briser sérieusement le narrateur)
"grmmbl... Ayé, j'ai pu faim, ça m'a coupé l'appétit, et j'men va prévenir les flics, la presse et tout le toutim !"
Le papy "s'éxécuta"... confiant, il parti ronfler pendant toute la nuit, sachant que la nuit porte conseil.
Le lendemain matin, dès le saut du lit, le papy se jeta sur le téléphone, visiblement la nuit lui avait porté conseil. Il avait décidé d'appeler un de ses amis d'un syndicat activisite d'un grand parc de loisirs dont nous ne citerons pas le nom car ici nous ne faisons pas de publicité gratuite pour les américains, qu'on se le dise ! Mais notre papy était parti sur sa lancée, il été bien décidé de téléphoner à son ami qui ne souhaite pas que son nom soit cité, nous l'appelerons donc "Liryc".
"Allô, Cyril ? C'est Papy Mouzeot ! Faut que j'te cause d'un truc incroyable qui m'est arrivé hier... on a tenté de m'assassiner en me coupant la gorge de l'intérieur ! Hein ? Tu t'rends compte jusqu'où ils vont maintenant !
La réponse de l'ami fût tout aussi étrange que mystérieuse :
- tut... tut... tut... tut... tut... tut... tut... tut... tut...
- Alors gamin, hein, kektendi ?"
Réponse de l'intéressé : "tut... tut... tut... tut... tut... tut... tut... tut... tut... tut... tut...
- Hein ? Kektudi ? grmmbl de téléphone ! J'entends rien !"
Visiblement contrarié le Papy raccrocha son combiné tout en continuant de pester : "grmmbl !"
La réponse de son ami l'avait peu ou prou convaincu et notre vieux con semblait perplexe sur cette situation plus que rocambolesque lorsque soudain le carillon de la porte d'entrée se fît entendre : "Toc Toc !"
Et oui, le papy complétement chamboulé par cet attentat envers sa prope personne avait totalement oublié que c'était mercredi (Ah, et alors, keuya le mercredi ?). En effet, le mercredi est le jour où Jérôme, son petit-fils vient passer toute la journée à la maison (oh Pute Borgne, jl'avais complétement oublié cuila). A peine le jeune garçon fût rentré que notre Papy lui raconta sa mésaventure...
- Alors gamin, hein, kektendi ?
- Faut tout balancer sur le Net Papy !
- Ben ayé, je t'ai tout balancé !
- Non, pas à moi Papy, sur le Net.
- Le Net ? Keucé ça encore le Net ?
- Ben la toile, le web, internet quoi !
- ????? Qué toile, ouaib, internénette ?
- Bah tu vois, c'est comme si ta télé était branchée sur ton téléphone...
- Hein, mais qui veux-tu qu'il appelle mon poste de télévision, il sait pas causer !
- Bon laisse tomber Papy, on va chez moi, j'vais te montrer à quoi ça ressemble 2010 !" (p'tit con !)
- Grmmbl"
Un peu plus tard, dans la chambre du petit-fils...
- Voilà Papy, c'est ça un PC, c'est mon Alienware Aurora ALX avec 6 giga de ram Tri-channel DDR3,1 Tera de disque dur, avec carte vidéo ATI HD 5970 de 2 giga ! Ça gère sa race !
- ?????? Hu... Tu peux causer en français steuplé ? J'ai pas pipé un mot de ce que tu raconte avec ton pécé !
- Tranquille Papy, tu vas voir comment ça assure, mate l'écran...
- M'prends par pour un débile, je vois bien que c'est comme le Minitel qui y'a à La Poste !
- Le Minitel ? C'est quoi comme PC ? Laisse tomber, mate ça le viocre, c'est ça internet !
- Gogle, c'est ça que vous appelez internet ?
- Non Papy, c'est gougueule, ça déchire sa race tellement c'est puissant, y'a tout la dedans !
- Ah ? Et tu t'imagine que tu vas me faire croire que tu as tout ce que tu veux dans cette p'tite boîte ? Ben, t'as pas de grosse envies !
- Mate ça Papy, là t'es en relation directe avec 60 millions de consommateurs, t'as quelque chose à leur dire, tu veux essayer ?
- Bah, heu... on est là pour ça que tu m'as dit. J'va essayer... Alors, j'y va : Allô, c'est Papy Mouzeot ! Y'a kélkun ?
- Wouah le nase hé ! Mort de rire le viocre !
- M'enfin ? Pourquoi ça marche pas ton foutu grmmbl de l'internet et qu'on dirait que tu te fous de ma gueule ?
- Mais c'est pas comme ça qu'on fait Papy, faut utiliser le clavier ! Woh lui hé !
- Bon, ça m'agace tout ça, moi j'y connais que dalle à ta musique, j'veux rentrer chez moi !
- Wouah, c'est bon Papy, tu me file 10 keuss et j'me charge de tout.
Epilogue : (enfin, c'est pas trop tôt)
Finalement le Papy a pu accomplir son devoir, le scandale a été balancé à 60 millions de consommateurs, sur le site du Ministère de la Santé, à l'ANSES le site officiel des alertes sanitaires et même sur libération.fr. Il pouvait donc reprendre sa misérable petite vie de vieux con.
Aux dernières nouvelles, son action citoyenne n'a été d'aucune utilité, aucun organisme n'a répondu à ses alertes. Il a certainement été prit pour un vieux fou alors que ce n'est qu'un vieux con.
Espérons que cet incident qui aurait pu se conclure de façon dramatique n'aura pas d'autres répercussions et qu'il n'y ait pas de personne mal intentionnée au sein de la société Unilever Best Foods France car le narrateur reste sur sa faim, le "mystère de la lame", qui se trouve être une lame de taille-crayon n'a toujours pas été élucidé.
Merci de l'intérêt que vous avez apporté à cette aventure qui paraît totalement fictive mais qui est pourtant une triste réalité.
Ci-dessous les documents attestants de la véracité des propos traités (même si le récit a été légèrement romancé)
• Voici le visuel recto du sachet incriminé :
Avec détail sur le fameux intrus
• Le verso :
Avec les indications d'identification du sachet
• La surprise Kinder en gros plan :
Avec dans les rôles :
• du narrateur : le narrateur
• du vieux con : Le Papy Mouzeot
• de la Louloutte : l'infirmière du Papy Mouzeot
• du petit-fils : Jérôme
• dans son propre rôle : Le Papy Mouzeot
Moralité : Comme le vieux con l'a cité plus haut, s'il avait épluché lui-même ses légumes, il n'aurait pas risqué sa vie, il serait peut-être moins con mais pas moins vieux ! (et la Louloute elle sert à quoi, hein ?)
Ainsi le nom, la date de naissance, l'adresse, la marque et la puissance du véhicule, peuvent être cédés à des tiers «à des fins statistiques, scientifiques ou historiques» selon le texte. Mais aussi, «et c'est là où le bât blesse», selon le journal, elles peuvent être vendues «à des fins d'enquêtes ou de prospections commerciales».
Or aucune obligation n'est faite à l'administration de prévenir l'usager de ces ventes. «Et il ne pourra que s'opposer à leur cession s'il en fait expressément la demande», précise Le Parisien.
De surcroît, il est aisé d'imaginer que les données en question puissent tomber entre des mains malveillantes. «On imagine l'intérêt que ces informations pourraient avoir pour des organisations criminelles désireuses de pratiquer le racket, le trafic ou le vol de véhicules à grande échelle» s'indigne l'avocat Olivier Hugot, spécialiste du droit sur Internet, dans le quotidien.
C'est pour éviter toute mauvaise utilisation de ces fichiers que les députés doivent examiner, mardi après-midi, un amendement du gouvernement permettant à l'Etat d'enquêter sur les acheteurs de ces fichiers.
Source : lefigaro.fr
Christine Ockrent refuse de démissionner après la mise en cause des directeurs de France 24. © MAXPPP
Dans la tourmente, la directrice déléguée de l’AEF n’entend pas pour autant démissionner.
Confrontée à une sombre d’affaire d’espionnage et à une fronde des directeurs de France 24, Christine Ockrent ne compte pas se laisser faire. "Je résiste. Je me battrai jusqu’au bout", a prévenu la directrice déléguée de l’Audiovisuel extérieur de la France (AEF) mardi sur Europe 1. "Je ne vais pas laisser 40 ans de parcours professionnel terni, saccagé par des allégations, des insinuations, des calomnies pour ce qui concerne la moindre participation de ma part à cette histoire débile d’espionnage et de ragot. Je ne laisserai pas faire."
Ecoutez Christine Ockrent :
L’épouse de Bernard Kouchner a répété qu’elle n’était pour rien dans l’affaire d’espionnage dans laquelle Candice Marchal, l'une de ses plus proches collaboratrices, est impliquée. Une affaire qui lui vaut aujourd’hui la défiance des cadres de France 24. "Ils inventent quelque chose de bizarre : un forme de responsabilité, ou pire, de culpabilité par proximité", a pesté Christine Ockrent. "Je ne suis pour rien dans cette affaire d’espionnage, je ne vais pas espionner ma propre boîte après 40 ans de métier. Tout cela est calomnieux et diffamatoire."
Christine Ockrent s’interroge désormais sur l’origine de toute cette affaire. "Je m’interroge sur le déroulement et le sens de ce curieux scénario que nous vivons depuis plusieurs mois dans lequel on essaye de m’engloutir.", a-t-elle lancé. "Avec des épisodes dont certains portent atteinte à l’intégrité de l’entreprise et abîme et souille tous ses collaborateurs, moi la première."
L’épouse de Bernard Kouchner refuse en tous cas de partir d’elle-même. "Nous sommes une société d’audiovisuel publique. Nous allons voir comment les tutelles qui m’ont nommée vont examiner cette situation inédite", a-t-elle affirmé, en référence à Nicolas Sarkozy, qui a désormais la main sur toutes ces nominations. "Mais Il n’appartient pas à des salariés d’un groupe de décider la manière dont la hiérarchie fonctionne"
Source : Europe 1