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  • : Le blog satirique du Papy Mouzeot
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Erick Bernard

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5 août 2011 5 05 /08 /août /2011 20:01

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Le jour où Marc Dorcel sera directeur
de campagne de Sarközy...

 

La bière est-elle une boisson alcoolisée ? pas en Russie, en tout cas pas jusqu'ici. Ce n'est qu'en juillet que le président russe, Dmitri Medvedev, a signé une loi reconnaissant la bière comme une boisson alcoolisée au même titre que la vodka. "Jusque-là, rappelle Le Figaro, les produits contenant moins de 10 % d'alcool étaient considérés comme de simples denrées alimentaires"...

 

Pour saluer cette initiative courageuse du maître du Kremlin, un collectif de jeunes filles en fleur fortement politisées, les "Medvedev girls", ont gratifié les passants moscovites d'un streap-tease engagé, jeudi dans les rues de la capitale russe. Les militantes invitaient les passants sur la place Pouchkine à vider leur bière dans un seau, en échange de quoi elles se déshabillaient pièce par pièce. Leur slogan : "Choisissez entre nous et la bière".

 

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Mais derrière cet effeuillage citoyen se cache en réalité une terrible bataille politique par nymphettes interposées entre les deux prétendants au Kremlin. Sous couvert de lutter contre l'alcoolisme, les "Medvedev girls" soutiennent en réalité une éventuelle candidature du chef de l'Etat à l'approche de la présidentielle de 2012.

Elles suivent l'exemple d'un autre mouvement féminin, baptisé "J'aime vachement Poutine", qui milite pour un retour au Kremlin du premier ministre Vladimir Poutine. Ces "Poutine girls" ont récemment lavé en maillot de bain et en public des voitures à Moscou.

 


 

Ces deux collectifs de groupies s'inscrivent dans ce qu'il est désormais convenu de considérer comme une tradition du culte de la personnalité politique en Russie. Il y a quelques années, un tube de house music vantait ainsi les qualités de celui qui était encore le locataire du Kremlin en des termes incomparablement élogieux : "J'aimerais un mec comme Poutine plein de force, un mec comme Poutine qui ne boit pas, un mec comme Poutine qui ne me ferait pas de peine..."

 


 

 

Ni Dmitri Medvedev ni Vladimir Poutine n'ont fait part de leurs intentions pour la présidentielle de 2012. Mais le premier ministre est toujours considéré comme l'homme fort (pour ne pas dire le mâle dominant) du pays, malgré son "faux départ" du Kremlin en 2008 après deux mandats consécutifs.

 

Voilà donc à quoi se résume les futures campagnes électorales en Russie, réduire les femmes à de vulgaires panneaux publicitaires plus ou moins sexy. Des femmes-sandwiches, certes belles à croquer (ne soyons pas hypocrites), qui nous ramènent tout droit à ce que préfigurent les  futures élections présidentielles de nombreux pays en 2012 (USA, Russie, France, Venezuela, Mexique, Taïwan...). L'image de la femme n'en sortira pas grandie et vulgarisée dans son plus simple appareil.

 

En France, le débat politique a démarré depuis le printemps dernier sur des thèmes plus scabreux, mais n'oublions pas que la campagne des présidentielles 2012 n'a pas encore débuté officiellement... nous ne sommes pas au bout de nos surprises !

 

 

 

 

Source : LeMonde.fr

 

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5 août 2011 5 05 /08 /août /2011 13:57

Lagarde-Shrek

Et si la Justice avait une conscience ?

 

Ça se saurait... Alors hier la Cour de justice de la République (CJR) aurait-elle fait acte de rebellion ?

Nous avons l'impression d'assiter à un épisode du lieutenant Columbo (paix à son âme) où nous voyons s'assembler peu à peu les pièces d'un gigantesque puzzle.

 

Ma femme m'a dit que pourtant tout avait été minutieusement calculé...

La chute de DSK, la nomination quasi instantanée de Lagarde à la tête du FMI, l'attente du départ à la retraite du juge Nadal, le report de la commission d'enquête au 4 août, prévue initalement au 8 juillet.  La commission des requêtes de la CJR, s'était réunie effectivement le 8 juillet mais avait reporté sa décision car l'un de ses membres, la magistrate à la Cour des comptes, Laurence Fradin, épouse de Pierre Joxe, s'était récusée à la dernière minute.

 

http://img11.hostingpics.net/pics/280412lagardeimagegauche.jpgMalgré tout la justice française a décidé jeudi d'enquêter sur le rôle joué en 2008 dans l'affaire Tapie/Crédit Lyonnais par la nouvelle directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) Christine Lagarde, à laquelle l'institution vient néanmoins de renouveler sa confiance. La commission des requêtes de la Cour de justice de la République (CJR) a émis "un avis favorable" à une enquête concernant l'ancienne ministre de l'Économie, a annoncé devant la presse son président Gérard Palisse (ça ne s'invente pas !), à l'issue d'une réunion de plusieurs heures.

La procureure générale près la Cour de cassation par intérim, Cécile Petit, saisira "dans les prochains jours" la commission d'instruction de la CJR, composée de trois magistrats de la Cour de cassation, a aussitôt précisé le parquet général. Celle-ci mènera des investigations pour savoir si l'ex-ministre s'est rendue coupable de "complicité de faux" et "complicité de détournement de biens publics" - passibles de dix ans de prison et 150 000 euros d'amende - Il est reproché à Christine Lagarde d'avoir abandonné en 2007 la voie judiciaire dans un litige concernant la revente d'Adidas en 1993, au profit d'une procédure d'arbitrage. Le procureur général de la Cour de cassation reproche également à Mme Lagarde d'avoir eu connaissance de la partialité de certains juges arbitres et de ne pas avoir exercé de recours contre cet arbitrage controversé alors que plusieurs spécialistes l'y avaient encouragée.

 

Lagarde-FMI

Contestation des chefs d'enquête retenus

L'avocat de Mme Lagarde, Me Yves Repiquet, a aussitôt estimé que cette enquête n'était "aucunement incompatible" avec les fonctions actuelles de Mme Lagarde à Washington. Quelques heures plus tard, le FMI lui a renouvelé sa confiance : "Le conseil d'administration est convaincu qu'elle pourra remplir efficacement ses devoirs de directrice générale", a affirmé l'institution dans un communiqué. Lorsque, à la demande de députés socialistes, le procureur général près la Cour de cassation Jean-Louis Nadal, aujourd'hui en retraite, avait saisi la CJR, il ne soupçonnait qu'un éventuel "abus d'autorité", passible de cinq ans de prison et 75 000 euros d'amende.

"Ce ne sera pas la première instruction qui aboutira à un non-lieu", a affirmé Me Repiquet, contestant les chefs d'enquête retenus. Les investigations promettent d'être longues et même si Mme Lagarde était renvoyée devant la CJR, habilitée à juger des faits commis par les ministres dans l'exercice de leurs fonctions, un procès n'aurait probablement pas lieu avant plusieurs années.

 

Lagarde-La-Marraine


285 millions pour Tapie

Le tribunal arbitral, juridiction privée, avait condamné en juillet 2008 le Consortium de réalisation (CDR), structure publique qui gérait le passif du Crédit Lyonnais, à verser à Bernard Tapie 285 millions d'euros d'indemnités (400 millions d'euros avec les intérêts), dont 45 millions d'euros au titre du préjudice moral. À l'époque, Bercy avait estimé que l'homme d'affaires ne devrait toucher au bout du compte qu'entre 20 et 50 millions de l'État, en raison de diverses déductions, notamment fiscales. Mais selon certains parlementaires, la somme qu'il a empochée serait de plus de 200 millions d'euros.

Jean-Louis Nadal reprochait à Christine Lagarde d'avoir recouru à cet arbitrage privé alors qu'il s'agissait de deniers publics, d'avoir eu connaissance de la partialité de certains juges arbitres et de ne pas avoir exercé de recours contre cet arbitrage controversé, alors que plusieurs spécialistes l'y avaient encouragée.

 

Pas de réjouissements hâtifs

http://img11.hostingpics.net/pics/245355Lagardebikini.jpgCeux qui voient déjà la nouvelle matronne du FMI "en future démissionnée" devront s'armer de patience. Car après rédaction d'un réquisitoire introductif par le parquet, trois juges de la CJR vont conduire une instruction, susceptible de durer plusieurs années et qui devra déterminer non pas si Christine Lagarde est coupable mais si elle doit simplement ou non faire l'objet d'un procès ! En attendant elle a encore de beaux  jour devant elle pour profiter pleinement de ses vacances dans son pays d'adoption... tiens, le même que Sarközy, étonnant non ?

 

Tapie estime que l'arbitrage ne peut être remis en cause

Bernard Tapie estime : « Il vaut mieux qu'une enquête approfondie soit menée par la CJR, elle aboutira, j'en suis absolument convaincu, à la même conclusion que le tribunal administratif : aucune faute n'a été commise ». Évoquant les réactions socialistes se félicitant de l'ouverture de cette enquête, et notamment celle du patron des députés PS, Jean-Marc Ayrault, qui a estimé jeudi que l'avis de la CJR montrait la confusion d'intérêts "au sommet de l'État", Bernard Tapie estime que "les socialistes ont la mémoire courte". "Ils oublient que la même procédure arbitrale a été engagée à de très nombreuses reprises par le CDR sous la tutelle de ministres socialistes", dit-il. Rappleons que ce dernier avait remporté une première victoire devant la cour d'appel de Paris en 2005, qui lui accordait alors une indemnité de 135 millions d'euros. Cet arrêt avait cependant été annulé par la Cour de cassation en 2006.

 

 



Exclusif : L'interview honteusement truqué de Christine Lagarde !

 

Bonjour m'dame la ministre,  ah que non, que t'es plus minist' main'nant !

Bon, on la refait...

Hum, hum... Salut, Papy Mouzeot pour le beulogue che4ever que j'ai quelques questions à vous poser qu'elles brûlent les lèvres de mes lecteurs...


– Dis-moi, juste entre nous, Sarközy... kekt'en pense ?

 

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– Naaan, allez, sérieux, je bosse moi ! Merde, fais un effort quand même...

 

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– Ah ouais, quand même ! Bon, on va p'têt passer à autre chose...

- Que pense-tu du jeune Babouin, c'ui qui te remplace au ministère que c'était ton tien ?

 

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– Bon, c'est fou ce qu'on progresse ! Et que si je te demande un truc sur DSK que tu vas m'dire...

 

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– J'en étais sûr, j'l'aurais parié !

– Que c'est même pas la peine que j'te demande des précisions sur Tapie...

 

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– Tu m'étonnes ! Sévèrement burné le Nanard, hein ?

– Bon, allez une dernière pour la route...

– Vous faites tous la même école pour entrer au FMI ?

 

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Oui, ben on va p'têt en rester là pour cette fois...

Allez, bonne bourre comme on dit chez vous !

 

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C'était le Papy Mouzeot en direct de che4ever, à vous les studios !

 

 

Source : LePoint

 

 

[Suite...]

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5 août 2011 5 05 /08 /août /2011 13:30

Lagarde-Shrek

 

Un témoignage foudroyant à l'encontre de l'ex-ministre de l'Économie et des finances publié ce jour par Le Monde.fr


Bernard Scamama ex-président de l'Etablissement public de financement et de restructuration (EPFR) déclare ce jour :

 

"J'ai reçu une consigne claire du cabinet de Mme Lagarde : aller à l'arbitrage"

 

http://img11.hostingpics.net/pics/561426Scamama.jpgLa Cour de justice de la République a décidé, jeudi 4 août, d'ouvrir une enquête sur la gestion par Christine Lagarde, alors ministre de l'économie, de la procédure d'arbitrage qui avait mis un terme, en juillet 2008, au conflit opposant Bernard Tapie au Crédit Lyonnais au sujet de la vente d'Adidas. Aujourd'hui à la tête du conseil de surveillance de l'aéroport de Bordeaux, Bernard Scemama a été président de l'Etablissement public de financement et de restructuration (EPFR), l'organisme chapeautant le Consortium de réalisation (CDR), de septembre 2007 à février 2009.

 

Fabrice Lhomme : Que vous inspire l'ouverture d'une instruction par la Cour de justice de la République ?


Bernard Scemama : Il me semble que, par principe, c'est toujours une bonne chose qu'il y ait une enquête lorsqu'il y a des doutes. Je souhaite à la CJR de pouvoir les lever.


Quel rôle avez-vous joué dans la procédure d'arbitrage tant contestée ?


Minime ! Je rappelle que j'ai été nommé le 15 septembre 2007 et que je suis entré en fonction le mois suivant, le jour même où le CDR a pris la décision de recourir à l'arbitrage. Le processus était déjà très largement entamé à mon arrivée.

 

Pourquoi vous a-t-on choisi ?


Cela m'a moi-même surpris. Certes, traditionnellement, la présidence de l'EPFR est confiée à un fonctionnaire de l'inspection des finances. Mais j'avais jugé, me concernant, ce choix un peu farfelu, car j'allais être atteint quelques mois plus tard par la limite d'âge.


Avez-vous reçu un "ordre de mission" à votre arrivée ?


Oui. J'ai été reçu dès ma nomination par Stéphane Richard, le directeur du cabinet de la ministre des finances, Christine Lagarde. Il m'a tout de suite parlé du dossier Tapie et m'a donné une consigne claire: il fallait aller à l'arbitrage. "C'est la décision du gouvernement", m'a-t-il dit. Il m'a expliqué que cela faisait des années que cette affaire traînait, et qu'il fallait en finir.

 

En avez-vous parlé avec Mme Lagarde directement ?


Non. En revanche, j'ai reçu des courriers d'elle me donnant des instructions, par exemple sur la garantie du Crédit lyonnais. Mon seul interlocuteur, c'était Stéphane Richard. Mais quand le directeur de cabinet parle, c'est la ministre qui parle.


Auriez-vous pu vous opposer à la solution imposée par la ministre ?


Je ne vois pas comment. D'abord, je n'avais pas les éléments d'analyse au moment de ma nomination, le processus étant déjà très avancé. Puis, à l'époque, le choix de l'arbitrage ne semblait pas aberrant. Enfin, j'ai quand même été nommé par un décret du chef de l'Etat, à la tête d'une structure publique, donc censée appliquer les décisions de l'autorité politique: je ne pouvais pas m'opposer au choix du gouvernement ! Enfin, toutes les décisions ont été votées, souvent à l'unanimité, par les conseils d'administration du CDR et de l'EPFR.


L'octroi de 45 millions d'euros au titre d'un préjudice moral à M.Tapie vous avait-il été soumis ?


Je ne me souviens plus dans le détail comment cela est apparu. Encore une fois, je n'ai jamais trempé dans ce compromis, qui a été organisé par le CDR. Tout était ficelé. Sur ce fameux préjudice moral, je me rappelle que les avocats du CDR avaient été très rassurants. A priori, ils étaient quand même là pour défendre les intérêts du CDR! Cela dit, ma réaction immédiate avait été très négative. J'avais trouvé l'octroi de cette somme supplémentaire complètement disproportionné, et je l'avais dit en réunion de conseil. C'était choquant. Mais il y avait une décision qu'il fallait bien appliquer… Et les doutes sur l'impartialité de l'un des trois arbitres… Là encore, je n'en ai eu connaissance que bien plus tard. Comment aurais-je pu le savoir ?


Avec le recul, n'avez-vous pas le sentiment d'avoir été instrumentalisé ?


Ce n'est pas impossible, cette idée vient toujours, après coup. En même temps, cela me paraît tellement énorme, cela signifierait que tout a été pipé.


Quel discours tiendrez-vous à la CJR, qui voudra vous entendre ?


C'est simple : je n'ai été qu'un exécutant, j'ai appliqué scrupuleusement les instructions de la ministre des finances, donc de l'Etat. Je n'ai trempé ni dans la préparation du compromis d'arbitrage ni dans aucune discussion, je ne peux donc être mis en cause dans la moindre irrégularité.


Vous pourriez être impliqué dans l'enquête préliminaire du parquet de Paris et celle de la Cour de discipline budgétaire et financière, portant sur les mêmes faits…


Je le vis très mal, car je n'ai rien à me reprocher. Tous les actes aujourd'hui contestés ont été pris avec l'approbation ou à la demande de la ministre.

 

 

Propos recueillis par Fabrice Lhomme pour LeMonde.fr

 


 

Sarközy mouillé jusqu'au coup ?

C'est ce que semblerait prétendre Eva Joly, l'ancienne magistrate, ex juge de l'affaire Elf Aquitaine, en déclarant : « C'est la chronique d'une honte nationale annoncée. Autant la situation de Dominique Strauss-Kahn n'était pas prévisible, autant celle de Christine Lagarde l'était [...] Qui pourrait croire que Mme Lagarde, alors ministre des Finances, a pu prendre seule la décision de recourir à l'arbitrage pour résoudre le contentieux avec ? Le choix de cette procédure de justice privée choisie en 2007 au détriment de la voie judiciaire classique apparaît aujourd'hui comme un petit arrangement entre amis qui bafoue l'intérêt général [...] Au-delà de la responsabilité de Mme Lagarde se poserait alors la question de celle du chef de l'Etat ».

 

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5 août 2011 5 05 /08 /août /2011 13:08

Hulk

 

http://img11.hostingpics.net/pics/388512MadameX.jpg
La mystérieuse Dany X.

Autre témoignage qui m'a été envoyé par une correspondante qui souhaite rester dans l'anonymat, nous l'appellerons donc madame X, Dany X.

Selon Dany X. la distribution use de tous les coups en dessous de la ceinture pour profiter des clients et de son personnel.

Certains "salariés" seraient même de mèche avec leur direction, une sorte d'opération "Pétrole contre nourriture".

Les conditions de travail dans ce secteur sont très précaires et il n'est pas rare d'être soumis au chantage sur les périodes de congés payés. Outre les conditions de travail désastreuses qui ne seront pas développées sur ce blog, mon frérot fait ça bien mieux que moi avec son blog à lui, Dany X. m'a fait part des combines et astuces que la grande distribution pratique pour "faire de la gratte" selon sa propre expression. Au final ce sont les fabricants, producteurs et les clients qui se font toujours avoir par ce rouleau compresseur.

Voici les cassettes vidéo qu'elle m'a fait parvenir, regardez, c'est édifiant !

 

Les arnaques de la grande distribution 1/3


 


Les arnaques de la grande distribution part 2/3 

 

Les arnaques de la grande distribution part 3/3

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4 août 2011 4 04 /08 /août /2011 10:35

http://img4.hostingpics.net/pics/499627inforegistre.jpg

Voici le témoignage de François V. qui m'a fait parvenir un mail d'alerte très touchant et très révélateur...

 

 

Bonjour M. Mouzeot,


 

Je suis un auto-entrepreneur en ferronerie d'art dans la région de l'Hérault. Je voulais vous informer ainsi que les lecteurs de votre blog qu'une entreprise malhonnête sévit actuellement auprès de tous les auto-entrepreneurs.

Ces [censuré] ont profité de la période où je reçois l'appel de cotisations RSI pour me faire parvenir un formulaire très officiel et me somment de régler la somme de 215,08 euros sous 15 jours. Sous la pression du ton officiel et autoritaire de ce document j'ai réglé sans prendre le soin de lire les informations au dos, j'ai assimilé ce document à Infogreffe.

Je voudrais vous prévenir et vos lecteurs par la même occasion de se méfier de la société Inforegistre car elle n'est liée en rien avec Infogreffe. Ses activités se résument à la création de portails internet et n'est en réalité qu'un imposteur qui escroque ses victimes en présentant des documents très semblables aux documents administratifs je reçois à longueur d'année.

 

J'espère que vous aurez l'amabilité de diffuser mon témoignage et vous félicite pour votre courage.

 

Cordialement,

François V.

 

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3 août 2011 3 03 /08 /août /2011 14:05

http://img11.hostingpics.net/pics/991173Accueil.jpg

AVIS AUX PEINTRES EN HERBE

 

Allez, que c'est moi que j'inaugure cette nouvelle rubrique avec cette très récente et coûteuse mésaventure...

Que voilà que mon p'tit fillot il a décidé de faire des études et qu'il rêve de devenir un futur Michel-Ange.

Faut dire que le bestiau il est assez doué et bien sûr qui c'est qu'il vient racketter pour l'occasion... C'est le Papy !

"Bon", que j'me dis "suis pas à 100 ou 200 francs près, qu'on sait jamais que si le p'tit, c'est un futur Picasso, ça pourrait être un bon placement pour mes tous derniers jours"...

Mais comme le papy il est pas tombé de la dernière pluie "que j'vas r'garder sur l'internet combien va me coûter cet investissement" que j'me suis dis et même que je l'ai fait. Faudrait pas que ça me coûte un bras non plus !

J'ai donc questionné mon ami que j'ai, le Gogole point freu et qu'il m'a indiqué une liste de sites spécialisés dans la fourniture des arts graphiques.

Fort de ces renseignement j'ai débarqué avec mon p'tit fillot dans le magasin Dalbe le plus proche de mon domicile... pas de bol, il a fermé ses portes ! Direction la grande ville, la plus proche...

 

Bah, ce n'est qu'à 30 bornes de l'hospice et à une heure de bouchons, pas de quoi fouetter un chat !

Mais arrivé sur place quand j'ai commencé à éplucher la liste du minot, les prix indiqués (lorsqu'ils l'étaient) ils n'étaient pas en francs et semblaient largement différents de ceux annoncés par le site oueb !

A tel point que j'ai remballé ma liste et je n'ai pris qu'une dizaine d'articles.

Voici le détail...


 

Comparatif des prix matériel de dessin


Désignation

Site Dalbe.fr

Magasin Dalbe

Site concurrent

Poch. Calque A3 90g

7,85 €

7,95 €

6,95 €

Poch. C à grain 180g

6,90 €

9,40 €

7,45 €

Poch. C à grain 224g

8,10 €

10,90 €

8,50 €

Bte 24 pastels huile

10,90 €

12,35 €

10,45 €

Stabilo pen 68 bte 20

15,50 €

27,00 €

14,90 €

Colle définitive bombe

8,55 €

12,20 €

7,75 €

Ciseaux 21 cm

1,80 €

7,00 €

5,94 €

Règle alu 50 cm

5,45 €

9,40 €

5,94 €

Mine plomb Cretacolor

1,00 €

1,70 €

1,95 €

4 Pinces dessin 50 mm

1,00 €

4,40 €

2,76 €

Sous-Total

67,05 €

102,30 €

72,59 €

Remise

-10% soit  10,23 €

Frais de port offerts

Total

67,05 €

92,08 €

72,59 €

 

• Prix de référence issus du site Dalbe.fr

• Plus cher

• Moin cher

 

http://img11.hostingpics.net/pics/874409FactureDalbeblog.gifPour preuve le ticket de caisse qui fait foi...

 

92,08 euros en magasin contre 67,05 annoncé sur le site soit plus de 25 euros plus cher, à cela tu rajoutes facile 10 euros de gas-oil pour l'aller-retour, t'es content du voyage ! Et encore je ne devrais pas me plaindre j'ai une remise de 10% à titre de bonne poire !

 

Y'a pas à dire, l'école c'est fait que pour les riches, c'est certainement pour ça que je n'ai pas ruiné mes parents.


Le plus scandaleux dans tout ça est que les prix varient du simple au quadruple dans la même enseigne sans aucune raison ! Va falloir que monsieur Dalbe il ait un sacré argument pour m'expliquer la raison du pourquoi. A savoir que la société Artéo qui a mis en place et exploite le site de vente à distance annonce des prix inférieurs à ceux pratiqués en magasin.

De deux choses l'une. Soit la société Artéo a pour objectif de faire couler les points de vente de la chaîne Dalbe, ce qui paraît totalement absurde, car sans force de vente les prix d'achats s'envoleraient soit certains et notamment un magasin ne respecte pas du tout la politique de groupe auquel cas il ne devrait plus conserver l'enseigne sur sa devanture !

Jean-Claude Maeder, PDG à la fois d'Artéo (le site de vente à distance) et de DALBE S.A. (le réseau N°1 pour créer) aura certainement quelques éclaircissements à fournir très prochainement...

 

Légalement je n'ai pas le droit de vous dire "fallait pas y aller" néanmoins le droit m'autorise de vous déconseiller cette enseigne si vous souhaitez y faire des achats en magasin à moins que vous ayez la judicieuse idée d'imprimer préalablement la liste avec les tarifs de vos achats depuis le site dalbe.fr.


Pour preuve de ma bonne foi voici les explications sous forme de comparatif en images...

Les captures d'écran du site Dalbe ont été réalisées le soir même après l'achat en magasin. Le site concurrent a été pris au hasard et chez lequel je ne suis pas client (pour le moment)...

 

http://img11.hostingpics.net/pics/822114Calque.jpg

 Prix en magasin (département 34) : 7,95 € +1,5%

 

http://img11.hostingpics.net/pics/149947Calque.jpgPrix concurrence


http://img11.hostingpics.net/pics/633973Papier.jpg 

 Prix en magasin (département 34) : 9,40 € +35% / 10,90 € +35%

 

http://img11.hostingpics.net/pics/796614Papier.jpgPrix concurrence

 

http://img11.hostingpics.net/pics/789404Pastels.jpg

 

 Prix en magasin (département 34) : 12,35 € + 13%

 

http://img11.hostingpics.net/pics/830717Pastels.jpg

Prix concurrence

 

http://img11.hostingpics.net/pics/732365Feutres.jpg

 

 Prix en magasin (département 34) : 27,00 € + 75%


http://img11.hostingpics.net/pics/520230Feutres.jpg

Prix concurrence


http://img11.hostingpics.net/pics/560227Colle.jpg


 Prix en magasin (département 34) : 12,20 € +43%


http://img11.hostingpics.net/pics/503042Colle.jpg

Prix concurrence


http://img11.hostingpics.net/pics/965605Ciseaux.jpg

Bon, là on se demande s'il n'y a pas une erreur !


 Prix en magasin (département 34) : 7,00 € + 290%


http://img11.hostingpics.net/pics/898029Ciseaux.jpg

Prix concurrence


http://img11.hostingpics.net/pics/447007Regle.jpg


 Prix en magasin (département 34) : 9,40 € + 73%

 

http://img11.hostingpics.net/pics/295253Rgle.jpg

Prix concurrence


http://img11.hostingpics.net/pics/711920Mineplomb.jpg


 Prix en magasin (département 34) : 1,70 € + 70%


http://img11.hostingpics.net/pics/365554Mine.jpg

Prix concurrence


http://img11.hostingpics.net/pics/405938Pinces.jpg


 Prix en magasin (département 34) : 1,10 €  + 340 %


http://img11.hostingpics.net/pics/454563Pinces.jpg

Prix concurrence

 

 

Conclusion : mon p'tit fillot va faire de la 3D !

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1 août 2011 1 01 /08 /août /2011 17:23

http://img11.hostingpics.net/pics/891088Indignes.gif

Les INDIGNES de l'industrie pharmaceutique

 

Le blog des militants syndicaux de l'industrie pharmaceutique qui se bat pour que la santé soit reconnue comme un bien universel.

 

Peut-on accepter  que l’Homme soit transformé en une série de fonctionnalités, en une norme, en une marchandise ?
 
Peut-on accepter que l’industrie pharmaceutique, les entreprises du médicament,  responsables socialement,  soient obsédées et pilotées par les revenus des dirigeants et les dividendes des actionnaires ?

 

Si vous souhaitez le savoir cliquez ici ----> +


Si vous aussi vous souhaitez défendre vos droits, c'est par là que ça se passe :   Cliquez ici pour signer la pétition 

 

 

Vu sur le blog :

http://idata.over-blog.com/4/16/26/23/Pics/Diablo.gif

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1 août 2011 1 01 /08 /août /2011 16:05

http://img11.hostingpics.net/pics/264520Mediapart.jpg

 

MEDIAPART OFF-LINE !

 

Voici ce qu'affichait le site de Mediapart ce lundi 1er août à 18 heures !


Ceci n'est pas un hoax !

Espérons que le site indépendant d'informations et d'investigations n'ait pas subi une attaque mal intentionnée et qu'il s'agisse d'un simple problème technique de serveur saturé.

 

Ces dernières semaines le site nous faisait part de révélations très indélicates pour l'actuel gouvernement au risque de fâcher copieusement le président des riches.

Loin de moi l'idée de penser que ce triste président en viendrait à de telles méthodes qu'il juge lui-même comme criminelles.

 

Je reconnais qu'après l'affaire DSK, le second feuilleton de l'été intitulé "L'AFFAIRE KARACHI" semblait remporter un réel succès auprès des internautes.

 

Je n'irais pas jusqu'à tirer des conclusions trop hâtives et souhaitons que la rédaction de Mediapart soit rapidement en mesure de nous informer sur cette interruption involontaire des programmes !

 

 

Ici, le Papy Mouzeot... j'ai plus qu'à allumer mon poste de TSF ! 

 


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1 août 2011 1 01 /08 /août /2011 10:59

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Alima Boumediene-Thiery
en "situation précaire" !

 

 

Le 22 juillet, le site Atlantico.fr publiait une lettre, adressée en mai par la sénatrice membre d'Europe écologie les Verts Alima Boumediene-Thiery au ministre de l'éducation nationale, Luc Chatel, et au recteur d'académie de Paris, Patrick Gérard.

 

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Cette dame a, en effet, écrit le 26 mai 2011 au ministre de l’Education, Luc Chatel, pour lui demander d’intervenir en faveur de son fils dont la demande de placement en internat dans un collège public sur Paris a été rejetée selon des "critères sociaux".

Dans cette missive, la sénatrice sollicite un rééxamen de la demande d'inscription en internat de son fils, refusée "sur critères sociaux".

 

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Madame Boumediene-Thiery se dit "surprise d'apprendre que l'accès aux internats du service scolaire public relèvent de critères sociaux et que chacun n'ait pas un libre accès quels que soient ses revenus".


Un postulat qui semble étonnant pour une élue de la République, membre de la commission des lois, le manque de place en internat n'étant pas précisément une situation nouvelle. Sénatrice de Paris, où elle réside, l'élue aurait par ailleurs pu savoir que les critères de placement en internat sont également géographiques.


Alima Boumediene-Thiery fait ensuite le point sur sa situation financière, dont elle estime qu'elle a été "mal évaluée". "Si mes revenus de sénatrice sont effectivement de l'ordre de 5 000 euros, je reverse chaque mois 1 200 euros au parti politique auquel j'appartiens", argue-t-elle. Elle évoque également "un crédit immobilier à hauteur de 1 500 euros, frais auxquels s'ajoutent des charges fixes". Et conclut : "In fine je dois vivre avec près de 2 000 euros et ainsi subvenir aux besoins de mon fils et de ma mère, qui est entièremement à ma charge."


La sénatrice est quelque peu approximative dans ses calculs. Un sénateur perçoit en effet une indemnité parlementaire "de base" de 5 514 euros bruts, auxquels s'ajoutent une indemnité de résidence de 165 euros, et une indemnité de fonction de 1 420 euros. L'indemnité nette est de 5 405,76 euros par mois.


Mais ce n'est pas tout. Chaque sénateur perçoit en plus une indemnité représentative de frais de mandat (IRFM), destinée à "couvrir les frais inhérents à l'exercice des fonctions parlementaires", mais sans nécessité de fournir de justificatif. "Cette indemnité mensuelle s'élève à 6 240,18 euros nets au 1er juillet 2011. Elle n'est pas soumise à l'impôt sur le revenu", peut-on lire sur le site du Sénat.


Madame Boumediene-Thiery dispose donc non de 5 500 euros mensuels, comme elle l'affirme, mais bien d'un revenu de 11 645,94 euros par mois.

 

AVANTAGES NOMBREUX

Même en ôtant les 1 200 euros qu'elle reverse à sa formation politique et les 1 500 euros d'emprunt immobilier dont elle s'acquitte, il reste donc à la sénatrice 8 945,94 euros mensuels et non 2 000 euros. Ce qui paraît suffisant pour "subvenir aux besoins" de sa famille.


Par ailleurs, les sénateurs ne croulent pas sous les frais. Ils disposent ainsi d'un accès gratuit et illimité à l'ensemble du réseau SNCF, en première classe. Ils peuvent effectuer quarante allers-retours aériens par an si leur circonscription est éloignée de Paris. En outre, frais de taxi ou de péage leur sont remboursés. Ajoutons que le Sénat dispose d'un vaste parc de véhicules avec chauffeur.


Chaque élu de la Haute Assemblée peut aussi accéder à des prêts "d'aide au logement ou pour l'acquisition d'un local à usage de bureau ou de permanence, en région parisienne ou dans leur circonscription". Ceux-ci sont à un taux moyen de 2 %, précise le site du Sénat, soit largement moins que ce qu'offrent les banques. Ils ne cotisent pas à la sécurité sociale, mais à une caisse particulière aux sénateurs, qui fait également office de mutuelle. Ils cotisent également à leur propre régime de retraite. Toujours selon le site du Sénat, "la pension mensuelle moyenne de retraite d'un sénateur, hors majoration pour enfants, était au 1er juillet 2011 de 4 442 euros nets".


La sénatrice termine sa lettre en évoquant la précarité de sa situation. "N'étant pas certaine d'être reconduite dans mon mandat sénatorial au mois de septembre, je risque de me retrouver sans revenus", explique-t-elle. Qu'elle se rassure : tout sénateur non réélu peut prétendre à une allocation d'aide au retour à l'emploi, versée de manière dégressive durant six semestres, donc trois ans. Si elle n'est pas réélue, Madame Bouemediene-Thiery ne sera donc pas "sans revenus".

 


 

 Droit de réponse

 

Suite à la parution de cet article sur le site d'Atlantico.fr, la sénatrice Alima Boumediene Thiery a demandé d'exercer son droit de réponse que le site à publié le 28 juillet.

 

Conformément à l'article 13 de la loi modifiée du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, je demande à exercer mon droit de réponse pour un article me concernant publié sur votre site le 22 juillet 2011 et rédigé par la rédaction d'Atlantico.fr, intitulé "La sénatrice qui se trouvait pauvre...".

Par l'utilisation d'une correspondance privée adressée au Ministre de l'Éducation faisant état des difficultés que j'ai éprouvées pour l'inscription de mon enfant à un internat public, l'article laisse entendre, de manière parfaitement illégitime, que j'aurais sollicité une faveur particulière pour l'inscription de mon fils à ladite école. Il laisse également entendre, de manière parfaitement erronée, que j'aurais cherché à justifier d'être éligible à une admission de mon fils dans cet établissement sur la seule base de critères sociaux.

Comme toute personne souhaitant inscrire son enfant à un internat public, j'ai suivi la procédure classique qui consiste, en premier lieu, à formuler une demande d'inscription de mon fils à un internat public.

Outre les raisons personnelles et familiales qui m'ont conduite à formuler une demande d'inscription dans un internat public, je considère que cette démarche s’inscrit dans le cadre de la mixité sociale et culturelle, et que les internats de l’école républicaine reçoivent des enfants de différents milieux et horizons.

Devant le refus sur critères sociaux qui m'a été opposé, j'ai saisi, comme l'aurait fait n'importe quel parent, le recteur de l'Académie ainsi que le Ministre de l'Éducation, aux fins de réexamen de la décision.

A aucun moment, je n'ai cherché, d'une manière ou d'une autre, à bénéficier d'une faveur personnelle.

S’agissant de mes revenus, l’article affirme à tort que je bénéficie de revenus de 10 000 €, alors que mon IRFM (indemnité représentative de frais de mandat) est entièrement consacrée aux frais afférents à ma permanence parlementaire, contrairement à d’autres parlementaires qui n’ont pas de permanence et qui conservent le montant de cette indemnité.

Mon salaire est donc d'environ 5000 euros, moins 1200 euros reversés mensuellement a Europe-Écologie Les Verts.

Je conteste donc le contenu de cet article orienté et diffamant qui porte atteinte à ma notoriété en prenant mon fils pour cible, et qui constitue une atteinte à ma vie privée.

 



Note de la rédaction d'Atlantico

 

"Nous avions déjà mis en lien la réponse de Mme Alima Boumediene Thiery à l'AFP dès sa publication vendredi dernier.

Mme Alima Boumediene Thiery considère que ses lettres ressortent d'une correspondance privée. La lettre ayant été établie sur du papier à en-tête du Sénat à l'attention du Ministre de l'Éducation nationale avec copie au Recteur de l'Académie de Paris, nous avons eu là-dessus une appréciation différente tout en prenant soin de ne pas mentionner les éléments relatifs à la vie familiale de Mme Alima Boumediene Thiery qui figuraient dans le courrier.

Quant à ses revenus, d'autres publications qu'Atlantico ont aussi apporté leur éclairage sur la question. Le sénateur-maire socialiste du 19ème arrondissement de Paris Roger Madec revenait ainsi par exemple dans le Canard Enchaîné sur l'indemnité représentative de frais de mandat (6840,18 euros mensuels nets d'impôts) que Mme Alima Boumediene Thiery avait omis de détailler dans la présentation de ses revenus en disant "une permanence, c'est 1000 euros par mois au maximum". Mme Alima Boumediene Thiery assure pour sa part qu'elle consacre entièrement cette indemnité à l'entretien de sa permanence électorale du 18ème arrondissement.

Pour information, les salaires des employés de la permanence sont eux pris en charge par une autre enveloppe qui permet la rémunération de trois personnes à temps plein."

 

 

 

Source : Antlantico.fr

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1 août 2011 1 01 /08 /août /2011 10:20
http://img15.hostingpics.net/pics/748156NON.jpgNON À L'AUSTÉRITÉ
DANS LA CONSTITUTION

 

Communiqué de la part de ATTAC, CGT-Finances, FASE, FILPAC-CGT, Fondation Copernic, GU, Les Alternatifs, Marches européennes, MPEP, NPA, PCF, PCOF, PG, République & Socialisme, Union syndicale Solidaires.

 

Attac, le PCF, l'Union syndicale Solidaires, la fondation Copernic, le Parti de gauche... Une quinzaine de partis et associations lancent sur Mediapart un appel contre l'inscription dans la Constitution de l'objectif de l'équilibre budgétaire.

 

L'Union européenne et les gouvernements utilisent les dettes publiques pour imposer aux peuples d'Europe une véritable purge sociale. Alors que les banques et autres opérateurs financiers n'en finissent pas de spéculer sur les dettes publiques, il faudrait que ce soit les populations qui payent une crise dont les marchés financiers sont les premiers responsables et uniques bénéficiaires.


C'est pour cela que les gouvernements de l'Union, la Commission et le Parlement européen, avec la participation active de la Banque centrale européenne et du Fonds monétaire international, veulent imposer une nouvelle gouvernance économique asservie à la finance avec pour objectif de mettre sous surveillance accrue les budgets nationaux, de durcir les sanctions contre les États en cas de déficit dit excessif et de réduire les dépenses publiques.


Le pacte "euro plus" utilisait déjà la crise de la dette pour imposer l'austérité, la baisse des salaires, des pensions et des retraites, la diminution du nombre de fonctionnaires, la flexibilité du travail, le recul de l'âge du départ en retraite, la casse des systèmes de protection sociale, tout en réduisant les pouvoirs des organisations syndicales. Le tout, au seul bénéfice des actionnaires des grandes sociétés et du système financier international! Une mesure déjà prise, le «semestre européen», vise à soumettre au Conseil et à la Commission les budgets des États avant même qu'ils soient débattus par les parlements nationaux.


Pour essayer de verrouiller totalement ce montage, les gouvernements européens veulent intégrer dans la loi fondamentale des États l'objectif de l'équilibre budgétaire, ce que Nicolas Sarközy appelle "la règle d'or". Stupide économiquement –que se serait-il passé si cette règle avait été appliquée au moment de la crise financière où les Etats ont renfloué les banques–, cette proposition est une agression contre la démocratie, car les politiques économiques seraient ainsi totalement soustraites au débat politique et à la décision citoyenne. Une telle disposition, adoptée par les parlementaires des deux chambres, ne doit pas être intégrée dans la Constitution française comme le veulent le président de la République et l'Union européenne.

 

Les citoyens et les citoyennes ne doivent pas payer les dettes qui sont le résultat de la soumission des Etats aux marchés financiers. Ces dettes sont illégitimes et les peuples ne doivent pas en faire les frais. Il faut exiger aujourd'hui un moratoire et des audits citoyens sur les dettes publiques. Dans l'immédiat, les organisations signataires appellent les citoyennes et les citoyens, leurs organisations associatives, syndicales et politiques à se mobiliser contre la constitutionnalisation de l'austérité et les parlementaires à voter contre ce texte si Nicolas Sarközy osait malgré tout convoquer le Parlement en congrès à Versailles.

 

 

 

Source :  Les invités de Mediapart

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Résistance

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